Macleans
Harris Wins Ontario Election (en anglais seulement)
Cet article provient du magazine Maclean’s. Il est uniquement disponible en anglais.Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (19/06/1995)
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Cet article provient du magazine Maclean’s. Il est uniquement disponible en anglais.Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (19/06/1995)
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Article
Île-du-Prince-Édouard, question des terres de l'En 1767, le gouvernement britannique décide d'allouer, avant même le début de la colonisation, la presque totalité des terres de l'Île-du-Prince-Édouard à de grands propriétaires qui deviendraient par la suite des locateurs résidents quasi féodaux, payant des redevances à la Couronne afin de financer l'administration et la colonisation de l'île. Cependant, la plupart de ces propriétaires demeurent absents, doivent des arriérés de redevances et ne respectent pas leurs engagements de...
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Article
L’internement est le confinement ou la détention forcés d’une personne en temps de guerre. Des opérations d’internement à grande échelle sont menées par le gouvernement canadien au cours de la Première et de la Deuxième Guerres mondiales. Dans les deux cas, la Loi sur les mesures de guerre est invoquée; celle-ci donne au gouvernement le pouvoir de refuser aux personnes leurs libertés civiles, notamment l’habeas corpus (soit le droit à un procès équitable avant la détention). Les gens sont détenus dans des camps disséminés d’un bout à l’autre du pays. Pendant la Première Guerre mondiale, on interne plus de 8 500 personnes; pendant la Deuxième Guerre mondiale, on en interne jusqu’à 24 000, y compris quelque 21 000 Canadiens d’origine japonaise.
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Article
L’expulsion et le confinement forcés des Canadiens d’origine japonaise pendant la Deuxième Guerre mondiale figurent parmi les événements les plus tragiques de l’histoire canadienne. Près de 21 000 Canadiens d’origine japonaise sont arrêtés dans leurs demeures sur la côte ouest canadienne, sans procès. Dès le 24 février 1942, environ 12 000 d’entre eux sont envoyés vers des régions éloignées de la Colombie-Britannique et ailleurs. Le gouvernement fédéral les prive de leurs propriétés et en pousse un grand nombre à accepter une déportation massive à la fin de la guerre. Ceux qui restent ne sont autorisés à retourner sur la côte ouest que le 1er avril 1949. En 1988, le gouvernement fédéral présente des excuses officielles pour la façon dont il a traité les Canadiens japonais. Un dédommagement de 21 000 dollars est également versé à chaque survivant, et plus de 12 millions de dollars sont alloués à un fonds communautaire et à des projets de défense des droits de la personne.Ce texte est l'article intégral sur l'internement de la communauté japonaise au Canada. Si vous souhaitez lire un résumé en langage simple, veuillez consulter : Internement de la communauté japonaise au Canada (résumé en langage simple).
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Macleans
Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (07/02/2000)
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Éditorial
L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour.
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Article
La résistance de Kanesatake, connue aussi sous le nom de crise d’Oka ou de « résistance mohawk à Kanesatake », a vu des manifestants kanyen’kehà:ka (mohawks) affronter, pendant 78 jours, du 11 juillet au 26 septembre 1990, la police du Québec, la GRC et l’armée canadienne. Elle s’est déroulée sur le territoire de la collectivité de Kanesatake, près de la ville d’Oka, sur la rive nord de Montréal. Des manifestations et des violences connexes se sont produites sur la réserve de Kahnawake, au sud de Montréal. La crise a été déclenchée par un projet d’expansion d’un terrain de golf et de construction de maisons en rangée, sur des terres faisant l’objet d’un litige, à Kanesatake, sur lesquelles se trouvait, notamment, un cimetière kanyen’kehà:ka. Les tensions ont été vives, notamment après le décès du caporal Marcel Lemay, un policier de la Sûreté du Québec. Finalement, l’armée a été sollicitée et les manifestations de protestation ont pris fin. L’agrandissement du terrain de golf a été annulé et les terres ont été acquises par le gouvernement fédéral. Cependant, elles n’ont pas été établies en tant que réserve, et n’ont toujours pas fait l’objet d’un transfert officiel aux Mohawks de Kanesatake. Ce texte est l’article intégral sur la résistance de Kanesatake (la crise d’Oka). Si vous souhaitez lire un résumé en langage simple, veuillez consulter l’article La résistance de Kanesatake (la crise d’Oka) (résumé en langage simple).
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Article
Aux mois de décembre 1837 et de janvier 1838, les rebelles du Bas‑Canada et du Haut‑Canada subissent de lourdes défaites face aux forces britanniques et loyalistes (voir :Rébellion du Bas-Canada; Rébellion du Haut-Canada). Ils s’enfuient aux États‑Unis pour y rechercher une assistance militaire et financière. Les Américains savent que des conflits armés se sont déroulés dans les deux Canadas et, au départ, ils sont nombreux à soutenir les rebelles. La présence de ces derniers sur le sol américain les amène à remettre en question leur participation dans ce conflit. La tension croissante avec la Grande‑Bretagne au sujet de l’affaire du Caroline complique les choses, tout comme la création de la république du Texas et la lutte pour l’abolition de l’esclavage. En janvier 1838, le président Martin Van Buren prend des mesures pour assurer la neutralité des États-Unis dans les rébellions canadiennes.
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Éditorial
L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Le dimanche 3 juin 1990, le premier ministre Brian Mulroney et les premiers ministres des dix provinces soulignent le troisième anniversaire de la conclusion de l’accord du lac Meech à l’occasion d’un souper donné dans la splendeur architecturale du Musée canadien des civilisations (maintenant le Musée canadien de l’histoire) à Hull, au Québec.
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Éditorial
L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour.
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Article
La Nouvelle-Écosse est l’une des quatre provinces fondatrices du Canada. Elle a rejoint le Nouveau-Brunswick, l’Ontario et le Québec dans la Confédération le 1er juillet 1867. Toutefois, cette union est principalement due au fait que la Confédération a livré le chemin de fer Intercolonial aux Maritimes, et grâce aux efforts de sir Charles Tupper. Son gouvernement a en effet approuvé la Confédération au sein de la législature coloniale malgré l’opposition populaire. (Voir Les adversaires de la Confédération.) La Confédération a suscité des protestations de masse dans la colonie. Joseph Howe dirige notamment un effort de deux ans pour abroger l’union. (Voir Mouvement sécessionniste.) Ce dernier a toutefois décidé qu’il aiderait mieux sa province en travaillant au sein du gouvernement fédéral, dont il rejoint le cabinet en 1869.
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Article
La Proclamation sur le pemmican est un décret de 1814 qui interdit l’exportation du pemmican et d’autres provisions hors de la colonie de la rivière Rouge, située dans le district colonial d’Assiniboia, aujourd’hui le Manitoba.
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Article
La question des écoles de l’Ontario est le premier grand débat scolaire axé sur la langue plutôt que sur la religion. Dans cette province, l’enseignement du français ou en français demeure une question litigieuse pendant presqu’un siècle, soit de 1890 à 1980. Sur cette question, les anglophones, tant catholiques que protestants, s’opposent aux francophones catholiques.
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Article
L’affaire commence aux élections fédérales du 29 octobre 1925, lors desquelles sont élus 101 députés libéraux, 116 députés conservateurs et 28 députés progressistes, travaillistes ou indépendants.
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Article
L’affaire Tchanak de 1922 est le premier test de politique étrangère important du premier ministre William Lyon Mackenzie King. Les forces turques menaçaient alors les troupes britanniques stationnées en Turquie après la Première Guerre mondiale. William Lyon Mackenzie King a refusé d’offrir automatiquement aux Britanniques le soutien militaire du Canada. Cette décision a été une autre étape sur la voie de l’indépendance du Canada sur la scène internationale.
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