Macleans
Preserving St. Roch
Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (11/05/1998)
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Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (11/05/1998)
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Article
The Principall Navigations, Voyages and Discoveries of the English Nation a été écrit par Richard Hakluyt (v. 1552-1616). Passionné de commerce et de colonisation, et convaincu que les navigateurs anglais « l'emportent ...
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Article
En 1845, la disparition de sir John Franklin et de son équipage dans l’Arctique canadien a engendré la plus grande opération de sauvetage de l’histoire de l’exploration. Plus de 30 expéditions de secours ont été envoyées en 20 ans, afin de découvrir le mystérieux destin de l’expédition Franklin qui visait à cartographier l’Arctique canadien et, par le fait même, le passage du Nord-Ouest. Les recherches se sont poursuivies d’ailleurs au 20e et au 21e siècle. Le 9 septembre 2014, on annonce que l’un des navires de l'expédition, plus tard identifié comme étant le HMS Erebus, a été retrouvé au large de l'île du Roi-Guillaume. Le 12 septembre 2016, une équipe de l’Arctic Research Foundation annonce qu’elle a retrouvé le Terror dans la baie Terror au Nunavut, au nord de l’endroit où on a découvert l’Erebus.
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Article
En 1711, la South Sea Company reçoit sa charte du Parlement britannique, qui lui accorde le monopole de la côte Ouest des Amériques jusqu'à une distance de 300 lieues en mer.
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Article
Sutil et Mexicana. En 1792, après les voyages d'exploration des Espagnols Manuel Quimper (1790) et Francisco de Eliza (1791), l'étendue du DÉTROIT DE JUAN DE FUCA est encore inconnue. Certains croient encore que le détroit constitue l'entrée du légendaire PASSAGE DU NORD-OUEST.
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Article
« Terre de Caïn », est l'expression que Jacques CARTIER a utilisé pour décrire la côte septentrionale du golfe du Saint-Laurent, quand il l'a aperçu pour la première fois en 1534.
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Article
La traite des fourrures a débuté au 17e siècle dans ce qui est aujourd’hui le Canada. Elle s’est poursuivie pendant plus de 250 ans. Les Européens commerçaient avec les peuples autochtones pour obtenir des peaux de castor. Cette industrie était alimentée par la forte demande en chapeaux de fourrure en Europe. La traite des fourrures est un des principaux motifs qui ont amené les Européens à explorer et coloniser le Canada. Elle est à l’origine des relations qui se sont établies entre les Européens et les peuples autochtones. (Cet article est un résumé en langage simple de la traite des fourrures. Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet, veuillez consulter notre article complet: Traite des fourrures au Canada.)
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Article
Travels and Adventures in Canada and the Indian Territories between the Years 1760 and 1776 (New York, 1809; Toronto, 1901) est un récit d'Alexander Henry, dit l'Ancien, un des premiers Britanniques à s'aventurer dans les territoires indiens de l'Ouest après la défaite des Français à Québec.
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Article
Les voyageurs étaient des entrepreneurs indépendants, des employés ou des associés secondaires de compagnies qui faisaient la traite des fourrures. Ils étaient munis d’un permis les autorisant à transporter des marchandises aux postes de traite et n’avaient généralement pas le droit de s’adonner eux-mêmes à la traite. Cette activité commerciale a évolué au cours des années, comme les groupes d’hommes qui l’ont pratiquée. Au 17e siècle, les voyageurs étaient souvent des coureurs des bois ‒ des commerçants sans permis chargés de livrer aux peuples autochtones les articles de troc de leurs fournisseurs. La mise en place du régime des permis de traite en 1681 a créé une distinction entre les voyageurs et les coureurs des bois, désormais considérés en quelque sorte comme des hors-la-loi. Aujourd’hui, les deux appellations évoquent l’image romantique d’hommes voyageant en canot à travers le continent pour trouver des fourrures. Leur vie était faite d’aventure périlleuse, de travail éreintant et de joyeuse camaraderie.
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