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Postes de traite de la HBC au Canada
De 1670 jusqu’en 1987, la Compagnie de la Baie d’Hudson (HBC) a exploité des centaines de postes de traite dans diverses parties du Canada et dans le Nord-Ouest des États-Unis. Pendant la traite des fourrures, les trappeurs autochtones visitaient les postes de traite pour échanger des fourrures contre des biens de valeur produits par les Européens, incluant des objets métalliques, des armes, et des perles de verre. En 1870, le vaste territoire sauvage du nord appartenant à la HBC (voir La Terre de Rupert et Territoires du Nord-Ouest) a été transféré au gouvernement canadien, et la HBC est graduellement passée d’une compagnie de traite de fourrures à un établissement de vente au détail. Toutefois, elle a maintenu des postes dans le Nord canadien jusqu’en 1987. Certaines colonies qui restaient dans les vieux postes de traite et aux alentours se sont développées en villes, comme Winnipeg (Fort Garry), Edmonton (Fort Edmonton) et Victoria (Fort Victoria). Certaines Premières Nations qui s’étaient établies près des postes de la HBC portent également des noms qui reflètent leur histoire de traite de fourrures, comme la Première Nation de Fort Albany en Ontario, et la Première Nation de Fort McKay en Alberta.
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Macleans
Preserving St. Roch
Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (11/05/1998)
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Principall Navigations, Voyages and Discoveries of the English Nation, The
The Principall Navigations, Voyages and Discoveries of the English Nation a été écrit par Richard Hakluyt (v. 1552-1616). Passionné de commerce et de colonisation, et convaincu que les navigateurs anglais « l'emportent ...
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Recherche de l’expédition Franklin
En 1845, la disparition de sir John Franklin et de son équipage dans l’Arctique canadien a engendré la plus grande opération de sauvetage de l’histoire de l’exploration. Plus de 30 expéditions de secours ont été envoyées en 20 ans, afin de découvrir le mystérieux destin de l’expédition Franklin qui visait à cartographier l’Arctique canadien et, par le fait même, le passage du Nord-Ouest. Les recherches se sont poursuivies d’ailleurs au 20e et au 21e siècle. Le 9 septembre 2014, on annonce que l’un des navires de l'expédition, plus tard identifié comme étant le HMS Erebus, a été retrouvé au large de l'île du Roi-Guillaume. Le 12 septembre 2016, une équipe de l’Arctic Research Foundation annonce qu’elle a retrouvé le Terror dans la baie Terror au Nunavut, au nord de l’endroit où on a découvert l’Erebus.
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South Sea Company
En 1711, la South Sea Company reçoit sa charte du Parlement britannique. Cela lui accorde le monopole de la côte Ouest des Amériques jusqu'à une distance de 300 lieues en mer.
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Sutil et Mexicana
Sutil et Mexicana. En 1792, après les voyages d'exploration des Espagnols Manuel Quimper (1790) et Francisco de Eliza (1791), l'étendue du DÉTROIT DE JUAN DE FUCA est encore inconnue. Certains croient encore que le détroit constitue l'entrée du légendaire PASSAGE DU NORD-OUEST.
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Terre de Caïn
« Terre de Caïn », est l'expression que Jacques CARTIER a utilisé pour décrire la côte septentrionale du golfe du Saint-Laurent, quand il l'a aperçu pour la première fois en 1534.
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Traite des fourrures au Canada (résumé en langage simple)
La traite des fourrures a débuté au 17e siècle dans ce qui est aujourd’hui le Canada. Elle s’est poursuivie pendant plus de 250 ans. Les Européens commerçaient avec les peuples autochtones pour obtenir des peaux de castor. Cette industrie était alimentée par la forte demande en chapeaux de fourrure en Europe. La traite des fourrures est un des principaux motifs qui ont amené les Européens à explorer et coloniser le Canada. Elle est à l’origine des relations qui se sont établies entre les Européens et les peuples autochtones. (Cet article est un résumé en langage simple de la traite des fourrures. Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet, veuillez consulter notre article complet: Traite des fourrures au Canada.)
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Travels and Adventures in Canada and the Indian Territories between the Years 1760 and 1776
Travels and Adventures in Canada and the Indian Territories between the Years 1760 and 1776 (New York, 1809; Toronto, 1901) est un récit d'Alexander Henry, dit l'Ancien, un des premiers Britanniques à s'aventurer dans les territoires indiens de l'Ouest après la défaite des Français à Québec.
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Voyageur
Les voyageurs étaient des entrepreneurs indépendants, des employés ou des associés secondaires de compagnies qui faisaient la traite des fourrures. Ils étaient munis d’un permis les autorisant à transporter des marchandises aux postes de traite et n’avaient généralement pas le droit de s’adonner eux-mêmes à la traite. Cette activité commerciale a évolué au cours des années, comme les groupes d’hommes qui l’ont pratiquée. Au 17e siècle, les voyageurs étaient souvent des coureurs des bois ‒ des commerçants sans permis chargés de livrer aux peuples autochtones les articles de troc de leurs fournisseurs. La mise en place du régime des permis de traite en 1681 a créé une distinction entre les voyageurs et les coureurs des bois, désormais considérés en quelque sorte comme des hors-la-loi. Aujourd’hui, les deux appellations évoquent l’image romantique d’hommes voyageant en canot à travers le continent pour trouver des fourrures. Leur vie était faite d’aventure périlleuse, de travail éreintant et de joyeuse camaraderie.
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