Forces armées | l'Encyclopédie Canadienne

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    Histoire des Forces armées au Canada

    Les Forces armées désignent les trois commandements d’armée, soit la force navale, la force terrestre et la force aérienne commandées par le gouvernement fédéral dans le but de défendre la sécurité du Canada, de protéger ses citoyens et de promouvoir ses intérêts stratégiques à domicile et à l’étranger. Les Forces armées ont beaucoup changé depuis l’époque coloniale, passant de petites milices locales aux forces militaires professionnelles que l’on connaît aujourd’hui.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/27bfbefd-a613-47df-bd35-5e01ef6511ae.jpg Histoire des Forces armées au Canada
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    Infanterie

    Parfois surnommée « reine des batailles », l’infanterie est la branche de l’armée qui fournit ses premiers combattants, appelés fantassins. La principale responsabilité de ceux-ci est de se rapprocher de l’ennemi et de le détruire. Bien qu’ils soient entraînés, armés et équipés pour combattre à pied, les fantassins sont habituellement transportés sur le champ de bataille par d’autres moyens. Les fantassins peuvent aussi être spécialisés, par exemple en infanterie légère, mécanisée, héliportée ou aéroportée. Les caractéristiques de l’infanterie sont la mobilité, la puissance de feu, la flexibilité, les communications et la vulnérabilité (à l’action ennemie). Les fantassins sont entraînés pour utiliser une variété d’armes individuelles ou collectives et travaillent avec les équipes interarmes de reconnaissance, de blindés, d’artillerie, de défense aérienne, de génie, d’aviation tactique et d’autres spécialistes de combat. Depuis l’Antiquité, l’infanterie a toujours représenté le plus important contingent des armées, à l’exception de la période féodale, où la cavalerie dominait. Au Canada, l’infanterie a toujours été le plus grand élément de l’armée.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/Infantry/InfantryCorpsBadge.jpg Infanterie
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    Ingénieurs militaires

    Les ingénieurs militaires sont des soldats entraînés spécifiquement pour appliquer les principes du génie et de la technologie en temps de guerre. Leur titre de « sapeur » fait référence à leur tâche qui est de miner et de creuser des tranchées.

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Ingénieurs militaires
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    La campagne de l'Atlantique de la guerre de 1812

    Les épisodes de la guerre de 1812 qui se déroulent en haute mer se caractérisent par des activités propres aux puissances maritimes, comme des accrochages entre navires, des blocus navals, des raids côtiers, des opérations mixtes avec l'armée de terre et une guerre commerciale impliquant le recours aux corsaires et aux lettres de marque.

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 La campagne de l'Atlantique de la guerre de 1812
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    La crise des missiles Bomarc

    Le CIM‑10B Bomarc était le premier missile sol-air antiaérien de longue portée à capacité nucléaire au monde. Deux escadrons du missile ont été achetés et déployés par le gouvernement du Canada en 1958. Ceci faisait partie du rôle du Canada pour défendre l’Amérique du Nord d’une éventuelle attaque soviétique, durant la Guerre froide. Le refus du premier ministre John Diefenbaker d’équiper les missiles de têtes nucléaires a entraîné un refroidissement des relations canado-américaines, particulièrement lorsque la crise des missiles cubains a mis cette question à l’avant-plan. La controverse a divisé le cabinet de John Diefenbaker et a contribué à faire perdre l’élection de 1963 à son parti.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/fe8757c3-dd58-4969-92f1-316d16aa4e6c.jpg La crise des missiles Bomarc
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    Le Canada et la bataille de l’Escaut

    La bataille de l’Escaut s’est déroulée dans le nord de la Belgique et le sud-ouest des Pays-Bas en 1944, pendant la Deuxième Guerre mondiale. Elle fait partie de la campagne des Alliés pour libérer le nord-ouest de l’Europe et vaincre l’Allemagne nazie. La Première Armée canadienne a joué un rôle de premier plan pour chasser les forces allemandes de l’Escaut et ouvrir une ligne d’approvisionnement cruciale à partir du port d’Anvers. Toutefois, cette victoire a eu un prix : la bataille a fait près de 13 000 victimes parmi les Alliés, dont plus de 6 300 Canadiens.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/BattleScheldt/Graves_Battle_Scheldt.jpg Le Canada et la bataille de l’Escaut
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    Le Canada et la guerre des gaz

    Des gaz toxiques ont été utilisés au cours de la Première Guerre mondiale par presque toutes les armées. Leur utilisation répandue était une première dans l’histoire de la guerre. Les différents types de gaz, distribués à l’aide de bonbonnes, de projecteurs ou d’obus, faisaient des morts et des blessés, et sapaient le moral. En 1918, les soldats de toutes les armées essuyaient régulièrement des attaques de gaz sur le front de l’Ouest. Les soldats canadiens ont été parmi les premiers à faire l’expérience des nuages toxiques à la deuxième bataille d’Ypres, en avril 1915. Au moins 11 572 soldats canadiens ont été tués ou blessés par des gaz toxiques, même si nombre d’entre eux se voient refuser une pension après la guerre. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, les armes chimiques ne sont pas utilisées sur le champ de bataille; toutefois, la station expérimentale Suffield, en Alberta, met au point et teste des armes chimiques et biologiques dès 1941. À partir environ du milieu du 20e siècle, des responsables canadiens interviennent sur la scène internationale en faveur de l’interdiction des armes chimiques. À la fin des années 1990, le Canada signe la Convention sur les armes chimiques (voir Contrôle des armes et désarmement).

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/GasWarfare/a002897-v8.jpg Le Canada et la guerre des gaz
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    Le désastre du NCSM Kootenay

    Le NCSM Kootenay était un destroyer de la marine du Canada. En 1969, un accident en mer tue 9 marins et en blesse 53.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/ced5f338-fcf3-463a-9627-1da6d7794b5e.jpg Le désastre du NCSM Kootenay
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    Le jour J et la bataille de Normandie (résumé en langage simple)

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/b81b71af-9ed9-43d1-8c68-dbe7a27bb20d.jpg Le jour J et la bataille de Normandie (résumé en langage simple)
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    Le Projet mémoire

    Le Projet mémoire est un programme national bilingue qui a pour mandat de recueillir et de diffuser les histoires d’anciens combattants et de membres actuels des Forces canadiennes.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/b5d10d9d-bc08-4d55-969d-32c81691fbeb.jpg Le Projet mémoire
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    Les Canadian Fencibles pendant la guerre de 1812

    Pendant les GUERRES NAPOLÉONIENNES, le gouvernement britannique forme des régiments qui prennent le nom de « Fencibles » pour servir sur son territoire.

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Les Canadian Fencibles pendant la guerre de 1812
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    Les corps d'armée et les hommes de 1812

    Unités terrestres britanniques et canadiennes Les forces terrestres britanniques qui ont défendu l'Amérique du Nord britannique durant la Guerre de 1812 étaient constituées d'hommes appartenant à diverses organisations.

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Les corps d'armée et les hommes de 1812
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    Les Forces canadiennes en Europe pendant la Guerre froide

    Pendant la guerre froide, des unités de l’Armée canadienne et de l’Aviation royale canadienne stationnent à l’étranger, pour la première fois en temps de paix. Les soldats et les aviateurs canadiens commencent à arriver en Europe au début des années 1950, peu après le commencement de la guerre froide, et restent jusqu’en 1993, après qu’elle a pris fin. Au total, plus de 100 000 militaires canadiens servent, en France et en Allemagne de l’Ouest, au cours de cette période.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/e011169341-v8.jpg Les Forces canadiennes en Europe pendant la Guerre froide
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    Infirmières militaires du Service de santé de l’Armée canadienne

    Plus de 2 800 infirmières civiles formées se sont enrôlées dans l’Armée canadienne durant la Première Guerre mondiale, devenant ainsi les premières femmes du monde moderne à détenir des commissions militaires en tant qu’officières. En tant que membres du Corps médical de l’Armée canadienne (CMAC), les infirmières militaires soignaient et prenaient soin des soldats blessés, à l’étranger et au pays. Au moins 58 d’entre elles sont décédées de maladie ou des conséquences d’actions ennemies durant la guerre.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/271eb18d-51cb-46d8-b660-42a54e9557c5.jpg Infirmières militaires du Service de santé de l’Armée canadienne
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    Les Sino-Canadiens de la Force 136

    La Force 136 est une division du service britannique Special Operations Executive (SOE; Direction des opérations spéciales) pendant la Deuxième Guerre mondiale. Ses missions secrètes, basées dans l’Asie du Sud-Est occupée par les Japonais, visent à soutenir et à entraîner les mouvements de résistance locaux pour saboter les voies de ravitaillement et l’équipement des Japonais. Bien que la Force 136 recrute principalement des Asiatiques du Sud-Est, elle mobilise également environ 150 Sino-Canadiens, desquels on s’attend à ce qu’ils se fondent dans la population locale et parlent la langue commuane. Plus tôt au cours de la guerre, plusieurs de ces hommes avaient offert leurs services au Canada, mais avaient été refusés dans l’armée ou encore enrôlés, puis mis de côté. La Force 136 devient ainsi une occasion pour les Sino-Canadiens de prouver leur courage, leurs habiletés et, surtout, leur loyauté envers le Canada.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/Force136/Force136-India-w-guns.jpg Les Sino-Canadiens de la Force 136