Guerres | l'Encyclopédie Canadienne

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    La guerre dans les airs

    Les avions sont devenus un élément important de la guerre moderne pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918). La technologie de l’aviation s’est développée rapidement et, à la fin de la guerre, les avions étaient utilisés pour la reconnaissance, le repérage d’artillerie, le combat aérien, le mitraillage de cibles au sol, la lutte anti-sous-marine, le bombardement tactique et stratégique et la défense nationale. Plus de 20 000 Canadiens ont servi dans les services aériens britanniques (Royal Flying Corps, Royal Naval Air Service et Royal Air Force) pendant la guerre. Environ 1400 d’entre eux ont été tués ou ont succombé à des blessures ou à des accidents. Le Canada n’avait pas d’armée de l’air pendant la Première Guerre mondiale; un corps d’aviation canadien à un seul avion a été créé en 1914, mais il n’a jamais été utilisé et a été rapidement dissous. Plus tard, le 5 août 1918, deux escadrons de l’Aviation canadienne ont été formés en Grande-Bretagne, mais ils ont été dissous l’année suivante lorsque les Britanniques ont coupé le financement. Le Service aéronaval royal canadien a été formé en septembre 1918, mais n’a duré que trois mois avant la fin de la guerre. Le Canada ne disposera pas d’une force aérienne permanente avant 1924. (Voir Aviation royale du Canada.)« Les avions sont une invention du diable et ils ne joueront jamais aucun rôle dans un domaine aussi sérieux que la défense d’une nation… », tonne Sam Hughes, ministre de la Milice et de la Défense, au début de la Première Guerre mondiale. Hughes n’est pas le seul à ne pas faire confiance à l’aviation. Si les principales puissances d’Europe occidentale – la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne – ont toutes étudié la façon dont l’aviation pourrait être employée en temps de guerre et disposent de petites forces aériennes, le rôle militaire que doivent jouer les avions demeure très incertain en août 1914, au moment où la guerre éclate. Tout au long de la Grande Guerre, les avions vont connaître des évolutions technologiques majeures et changer pour toujours la nature de l’art de la guerre.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/f864cf51-65b5-4803-85a1-a7908ffdc0aa.jpg La guerre dans les airs
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    La guerre de course pendant la guerre de 1812

    La guerre de course renvoie à l'autorisation accordée par un gouvernement aux navires qui appartiennent à des particuliers de faire la guerre. Au Canada, la guerre de course remonte à l'attaque de Samuel Argall contre PORT-ROYAL, en Acadie, en 1613.

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 La guerre de course pendant la guerre de 1812
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    La prise de Détroit, guerre de 1812

    Le 12 juillet, Hull traverse sans opposition la rivière Détroit et occupe Sandwich [Windsor]. Le 20 juillet, il prononce un discours emphatique et exhorte la milice canadienne à se défaire du joug britannique et à embrasser la liberté américaine.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/7f0b4148-24cc-4019-bc8a-e1f0fc825214.jpg La prise de Détroit, guerre de 1812
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    La prise du fort Niagara

    La prise du Fort Niagara les 18 et 19 décembre 1813 constitue une victoire des Britanniques sur les Américains dans le contexte de la Guerre de 1812. Les troupes américaines occupent le Fort George et le village de Niagara (aujourd'hui Niagara-on-the-Lake) dans le Haut-Canada depuis mai 1813. L'hiver approche et les conditions de vie des troupes américaines se détériorent; elles apprennent de surcroît que les Britanniques sont en marche pour reprendre le fort. Le fort est sous le commandement du brigadier-général George McClure. Avec à peine plus de 100 troupiers, McClure décide de battre en retraite au fort Niagara de l'autre côté de la rivière du même nom. Avant de partir, il donne suite aux instructions du secrétaire de la Guerre John Armstrong et détruit le village de Niagara.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/659c26df-741b-477d-8d28-b5a7c4212206.jpg La prise du fort Niagara
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    L'affaire du Chesapeake, 1807

    Les guerres ont bien souvent de nombreuses causes. Certaines symbolisent des litiges qui durent depuis longtemps entre des nations, d'autres sont des étincelles qui enflamment les esprits et entraînent les pays à appeler aux armes.

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 L'affaire du Chesapeake, 1807
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    Le Canada : en route vers la Deuxième Guerre mondiale

    « Tous les problèmes des Européens ne valent pas la dépouille d’un seul grenadier torontois », déclare en 1935 Frank Underhill, vétéran de la Grande Guerre et professeur d’histoire à l’Université de Toronto.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/Twitter_Cards/Wartime leaders.jpg Le Canada : en route vers la Deuxième Guerre mondiale
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    Le Canada et la Bataille de l’Atlantique (résumé en langage simple)

    La Bataille de l’Atlantique a été la plus longue bataille de la Deuxième Guerre mondiale. Elle a duré du 3 septembre 1939 au 8 mai 1945. L’océan Atlantique était important pour les Alliés, car ils avaient besoin d’acheminer du ravitaillement et des personnes par navire de l’Amérique du Nord vers l’Europe. Les sous-marins allemands ont attaqué et ont fait couler plusieurs de ces navires. Le Canada a joué un rôle important dans la Bataille de l’Atlantique. La Marine royale et l’Aviation royale canadiennes ont protégé des convois de navires de ravitaillement et ont chassé des sous-marins. La marine marchande canadienne a transporté des troupes, de la nourriture et d’autres fournitures. (Cet article est un résumé en langage simple sur la Bataille de l’Atlantique. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, Le Canada et la Bataille de l’Atlantique.)

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/8cb80cb6-7ee5-4b1d-b742-922466dbc5f3.jpg Le Canada et la Bataille de l’Atlantique (résumé en langage simple)
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    Le Canada et la bataille de l’Escaut

    La bataille de l’Escaut s’est déroulée dans le nord de la Belgique et le sud-ouest des Pays-Bas en 1944, pendant la Deuxième Guerre mondiale. Elle fait partie de la campagne des Alliés pour libérer le nord-ouest de l’Europe et vaincre l’Allemagne nazie. La Première Armée canadienne a joué un rôle de premier plan pour chasser les forces allemandes de l’Escaut et ouvrir une ligne d’approvisionnement cruciale à partir du port d’Anvers. Toutefois, cette victoire a eu un prix : la bataille a fait près de 13 000 victimes parmi les Alliés, dont plus de 6 300 Canadiens.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/BattleScheldt/Graves_Battle_Scheldt.jpg Le Canada et la bataille de l’Escaut
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    Le Canada et la guerre des gaz

    Des gaz toxiques ont été utilisés au cours de la Première Guerre mondiale par presque toutes les armées. Leur utilisation répandue était une première dans l’histoire de la guerre. Les différents types de gaz, distribués à l’aide de bonbonnes, de projecteurs ou d’obus, faisaient des morts et des blessés, et sapaient le moral. En 1918, les soldats de toutes les armées essuyaient régulièrement des attaques de gaz sur le front de l’Ouest. Les soldats canadiens ont été parmi les premiers à faire l’expérience des nuages toxiques à la deuxième bataille d’Ypres, en avril 1915. Au moins 11 572 soldats canadiens ont été tués ou blessés par des gaz toxiques, même si nombre d’entre eux se voient refuser une pension après la guerre. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, les armes chimiques ne sont pas utilisées sur le champ de bataille; toutefois, la station expérimentale Suffield, en Alberta, met au point et teste des armes chimiques et biologiques dès 1941. À partir environ du milieu du 20e siècle, des responsables canadiens interviennent sur la scène internationale en faveur de l’interdiction des armes chimiques. À la fin des années 1990, le Canada signe la Convention sur les armes chimiques (voir Contrôle des armes et désarmement).

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/GasWarfare/a002897-v8.jpg Le Canada et la guerre des gaz
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    Le Canada et la Guerre froide (résumé en langage simple)

    Durant la Guerre froide, la majeure partie du monde était divisée en deux camps. « L’Ouest » était dirigé par les États-Unis et « l’Est » était dirigé par l’Union soviétique. Le Canada s’est rangé du côté de l’Ouest. La Guerre froide a commencé après la Deuxième Guerre mondiale. Elle a pris fin en 1991 lorsque l’Union soviétique s’est effondrée. Il n’y a pas eu de guerre directe ou « chaude » entre les deux superpuissances. Mais les tensions étaient très fortes et la population avait peur d’une guerre nucléaire. Certaines guerres de plus petite envergure ont eu lieu, comme la guerre de Corée. (Cet article est un résumé en langage simple sur la Guerre froide. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, Le Canada et la Guerre froide.)

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/CubanMissileCrisis/7322067464_e858ddfc17_z.jpg Le Canada et la Guerre froide (résumé en langage simple)
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    La crête de Vimy

    La bataille de la crête de Vimy lors de la Première Guerre mondiale occupe une place privilégiée parmi les événements fondateurs de la nation canadienne. Il s’agit à la fois d’un triomphe – une victoire capitale des Alliés après une longue impasse sanglante – et d’une tragédie. Durant des combats de quatre jours, 3 598 Canadiens sont tués et 7 004 blessés. Voilà plus d'un siècle que cette bataille a pris fin le 12 avril 1917 et, tout au long de cette période, l’événement a acquis une autre dimension, confinant au mythe. Le brigadier-général canadien A.E. Ross déclare ainsi à propos de cette victoire : « Pendant ces quelques minutes, j’ai assisté à la naissance d’une nation. »

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/16f32862-4f2b-488d-935e-7b4fcf5a5d64.jpg La crête de Vimy
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    Le fort Amherstburg et la guerre de 1812

    Pour remédier à la situation, les Britanniques commencent la construction d'un nouveau fort dans le but de protéger leurs intérêts. En 1788, ils effectuent un levé terrestre à l'endroit où la rivière Détroit se jette dans le lac Érié.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/d474d1e9-393d-4930-9241-243d33a89ef3.jpg Le fort Amherstburg et la guerre de 1812
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    Le HMS Shannon et le USS Chesapeake

    L'une des batailles navales les plus marquantes de la GUERRE DE 1812 fut assurément celle qui opposa le HMS Shannon à l'USS Chesapeake.

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Le HMS Shannon et le USS Chesapeake
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    Le jour J et la bataille de Normandie (résumé en langage simple)

    Cet article est en cours de traduction. Il sera disponible sous peu. Veuillez le consulter à nouveau à une date ultérieure ou ajoutez-le à vos articles sauvegardés.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/b81b71af-9ed9-43d1-8c68-dbe7a27bb20d.jpg Le jour J et la bataille de Normandie (résumé en langage simple)
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    La bataille de York

    Le pillage de York, qui représente une défaite écrasante pour les Britanniques pendant la guerre de 1812, commence au matin du 27 avril 1813. À l'aube, une flottille de 16 navires américains, sous les ordres du commodore Isaac Chauncey, se fraie un chemin jusqu'à la capitale du Haut Canada, YORK [aujourd'hui Toronto]. Les Américains débarquent à l'ouest, anéantissent le petit groupe de guerriers qui défend le rivage et neutralisent les faibles batteries de la ville. Les forces américaines, composées d'environ 1 700 hommes, assument facilement le contrôle. Mal défendu par une garnison insignifiante de 700 soldats et appuyé par une milice peu enthousiaste (presque totalement absente, en fait), le fort est abandonné par le général britannique sir Roger Hale Sheaffe. Il laisse derrière lui deux officiers de la milice locale pour négocier les modalités de la capitulation.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/SirIsaacBrockShip.jpg La bataille de York