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Médias des peuples autochtones
Avant les années 60, seuls quelques périodiques étaient publiés à l'intention des lecteurs autochtones, la plupart, par des organisations missionnaires et gouvernementales non autochtones.
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Avant les années 60, seuls quelques périodiques étaient publiés à l'intention des lecteurs autochtones, la plupart, par des organisations missionnaires et gouvernementales non autochtones.
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Les Métis sont un peuple d’origine autochtone et européenne. Ils sont l’un des trois peuples autochtones reconnus du Canada. L’utilisation du terme « Métis » est à la fois complexe et sujette à controverse, et comporte différentes significations historiques et contemporaines. Le terme est employé pour décrire les communautés d’origine mixte européenne et autochtone partout au Canada, et pour désigner une communauté spécifique – définie comme la Nation métisse – (voir Les Métis sont un peuple, pas un processus historique et Les « autres » Métis). Bien que le gouvernement canadien marginalise politiquement les Métis après 1885, ceux-ci sont depuis reconnus comme un peuple autochtone disposant de droits inscrits dans la Constitution du Canada et plus clairement définis dans une série de décisions de la Cour suprême du Canada.
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On trouve des communautés métisses partout au Canada; toutefois, la seule assise territoriale métisse disposant d’une protection légiférée se trouve en Alberta. Huit établissements métis sont situés dans le nord et le centre-est de la province : Paddle Prairie, Peavine, Gift Lake, East Prairie, Buffalo Lake, Kikino, Elizabeth et Fishing Lake. En 2016, les établissements couvraient 512 121 hectares de terres et abritaient environ 5 000 personnes. Les établissements métis sont autonomes et assurent la protection de la culture et de l’identité métisses.
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Le Ralliement national des Métis représente plus de 350 000 membres de la nation métisse, dont la population se trouve en Alberta, au Manitoba, en Saskatchewan et dans certaines parties de l’Ontario, de la Colombie-Britannique et des Territoires du Nord-Ouest. Il naît au début des années 1980 pendant le débat constitutionnel intense sur les droits ancestraux. Le Ralliement national des Métis continue de défendre la cause d’une nation métisse culturellement et politiquement à part, ancrée dans l’Ouest canadien, qui continue à revendiquer l’autonomie gouvernementale, des territoires et d’autres droits ancestraux.
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Les Micmacs (Mi’kmaw, Micmacs, ou L’nu, qui signifie « les gens » en micmac) sont un peuple autochtone qui fait partie des premiers habitants des provinces canadiennes de l’Atlantique. Des noms alternatifs pour les Micmacs sont trouvés dans les ouvrages historiques, comme les Gaspésiens, les Souriquois et les Tarrantines. Les communautés micmaques contemporaines vivent principalement en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick, bien qu’on en trouve également un grand nombre au Québec, à Terre-Neuve, dans le Maine et dans la région de Boston. En juillet 2022, la langue micmaque est reconnue comme la première langue de la Nouvelle-Écosse.
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Un militant ou une militante est une personne qui ?uvre a susciter des changements d’ordre social ou politique. Plusieurs Autochtones au Canada ont ete des figures de proue de mouvements pour l’environnement, les droits des Autochtones et relatifs aux traites, un acces equitable a l’education et aux soins de sante, les droits des femmes et des enfants, et plus encore. Des femmes autochtones, notamment, ont defendu des causes touchant leur famille et leur communaute. Cet article traite de quelques militantes autochtones au Canada qui ont milite efficacement pour des causes importantes. (Voir aussi Questions relatives aux femmes autochtones au Canada.)
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Les Kanyen’kehà:ka ou Kanien’kehá:ka (« peuple des silex »), mieux connus sous le nom de Mohawks par les non-Kanyen’kehà:ka, sont un peuple autochtone d’Amérique du Nord. Parmi les membres de la Confédération Haudenosaunee, aussi connue sous l’appellation de « Confédération iroquoise » et de « Confédération des Six-Nations », ils sont situés le plus à l’est. Au début du 17e siècle, ils vivent sur les rives de la rivière Mohawk dans ce qui est aujourd’hui le nord de l’État de New York. Ils s’engagent activement dans le commerce des fourrures et les conflits coloniaux des deux siècles qui suivent. Plusieurs d’entre eux se réinstallent près du fleuve Saint-Laurent avant 1700. Après la Révolution américaine, le reste déménage au Canada pour vivre dans des territoires contrôlés par leur alliée, la Grande-Bretagne. Ici, les Mohawks prospèrent et acquièrent une réputation de militantisme en ce qui a trait au maintien de leur langue et de leur culture, et à la défense de leurs droits.
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À partir de la fin des années 1660, quelques centaines d'Iroquois, principalement de la nation mohawk, s'installent dans la région de Montréal. La plupart d'entre eux sont convertis au catholicisme ou sont en voie de l'être.
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Les Montagnards sont un groupe autochtone vivant sur les versants des monts Mackenzie le long du fleuve Mackenzie.
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Les Mowachaht et les Muchalaht sont des Premières Nations nuu-chah-nulth qui ont fusionné officiellement dans les années 1950. Leur territoire comprend plusieurs zones de la côte ouest de l’île de Vancouver. En septembre 2018, leur population s’élevait à 613 membres enregistrés. Comme plusieurs autres nations du Conseil tribal des Nuu-chah-nulth, les Mowachaht-Muchalaht sont actuellement engagés dans la quatrième phase de la négociation d’un traité (qui en compte six) pour obtenir leur autonomie gouvernementale en Colombie-Britannique.
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Archives du Project Mémoire
« Et tout à coup, hop je faisais partie de l’armée. Et je ne savais pas quoi dire. J’ai dit à ma grand-mère que je partais juste pour la journée, elle a dit que c’était d’accord. Et je reviens et j’avais une permission de sept jours. » Pour le témoignage complet de M. Petit, veuillez consulter en bas. Prenez note que les sources primaires du Projet Mémoire abordent des témoignages personnels qui reflètent les interprétations de l'orateur. Les témoignages ne reflètent pas nécessairement les opinions du Projet Mémoire ou de Historica Canada.
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Archives du Project Mémoire
« Même si des camarades hurlaient ou gémissaient parce qu’ils avaient été touchés, vous deviez continuer sans vous arrêter. » Pour le témoignage complet de M. Godon, veuillez consulter en bas. Prenez note que les sources primaires du Projet Mémoire abordent des témoignages personnels qui reflètent les interprétations de l'orateur. Les témoignages ne reflètent pas nécessairement les opinions du Projet Mémoire ou de Historica Canada.
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Archives du Project Mémoire
En 2012, Le Projet Mémoire a interviewé Frank Tomkins, un ancien combattant de la Deuxième Guerre mondiale. L’enregistrement qui suit (ainsi que la transcription) est un extrait de son entrevue. Frank Tomkins est né à Grouard, en Alberta, le 27 février 1927. Né au sein de la bande crie Poundmaker (voir aussi Poundmaker), il s’est enrôlé dans l’Armée canadienne en 1945 à l’âge de 18 ans. Frank Tomkins a servi en tant que soldat sur le front intérieur durant la Deuxième Guerre mondiale. Cinq de ses frères ont également servi durant la guerre, trois d’entre eux étaient transmetteurs en code cri : ses frères Charles et Peter Tomkins, et son demi-frère John Smith. Charles a été le sujet d’un court documentaire, Cree Code Talker (2016). Dans son témoignage, Frank Tomkins raconte l’histoire du service de ses frères en tant que transmetteurs en code pour l’armée américaine, et le rôle de leur langue crie (Nehiyawak) dans la transmission de renseignements cruciaux durant la guerre. Tout comme les transmetteurs en code navajo qui ont servi sur le théâtre de guerre du Pacifique, les transmetteurs en code cri ont développé un système basé sur la langue crie. Ce codage a été une contribution inestimable pour les renseignements militaires des Alliés. Pour le témoignage complet de M. Tomkins, veuillez consulter en bas. Prenez note que les sources primaires du Projet Mémoire abordent des témoignages personnels qui reflètent les interprétations de l'orateur. Les témoignages ne reflètent pas nécessairement les opinions du Projet Mémoire ou de Historica Canada.
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Archives du Project Mémoire
Howard Sinclair Anderson s’est joint à l’armée comme mineur après que le chef de la réserve George Gordon, un vétéran de la Première Guerre mondiale, a fait le tour en cherchant des volontaires. Anderson est devenu un caporal suppléant du Corps royal d’intendance de l’Armée canadienne lors de la Deuxième Guerre mondiale. Découvrez l’histoire de son service en France après le jour J et de la discrimination qu’il a fait face après son retour.Prenez note que les sources primaires du Projet Mémoire abordent des témoignages personnels qui reflètent les interprétations de l'orateur. Les témoignages ne reflètent pas nécessairement les opinions du Projet Mémoire ou de Historica Canada.
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Archives du Project Mémoire
John « the B » Marchand de la réserve d’Okanagan n° 1 était un mitrailleur Bren pendant la Deuxième Guerre mondiale. Il a servi dans l’infanterie de 1943 à 1945. Apprenez-en plus sur les expériences de John Marchand dans les tranchées pendant la campagne d’Italie. Prenez note que les sources primaires du Projet Mémoire abordent des témoignages personnels qui reflètent les interprétations de l'orateur. Les témoignages ne reflètent pas nécessairement les opinions du Projet Mémoire ou de Historica Canada.
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