Femmes | l'Encyclopédie Canadienne

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  • Article

    Demasduit

    Demasduit (aussi connue sous les noms de Demasduwit, Shendoreth, Waunathoake et Mary March), créatrice d’un lexique Béothuk (née en 1796; morte le 8 janvier 1820 à baie des Exploits, Terre-Neuve). Demasduit est une femme Béothuk qui a été capturée par des pêcheurs anglais en 1819. Par la suite, elle a été envoyée dans une mission anglicane où elle a créé une liste de mots de la langue Béothuk. Après sa mort, sa dépouille et celle de son mari ont été amenées en Écosse. Après de nombreuses démarches, les dépouilles ont été rapatriées à Terre-Neuve en 2020. Le gouvernement du Canada a reconnu Demasduit comme une personne d’importance historique nationale.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/d98583ec-b0c6-4d27-932f-af95a68bd8a3.jpg Demasduit
  • Éditorial

    Quintuplées Dionne : bébés miracles

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/d32900d9-595e-4ab7-99cb-c84da26b5d3d.jpg Quintuplées Dionne : bébés miracles
  • Article

    Dix pionnières de l’Ouest canadien

    En tant que prospectrices, alpinistes, agricultrices et fermières, les femmes ont joué un rôle important dans le développement de l’Ouest canadien. Cette liste de dix pionnières comprend des femmes colons et prospectrices noires américaines; une prospectrice tagish dont la découverte a contribué à déclencher la ruée vers l’or du Klondike; une spécialiste des glaciers et membre fondatrice du Club Alpin du Canada; et l’une des premières femmes embauchées par la Police à cheval du Nord-Ouest. Certaines d’entre elles sont venues d’outre-mer ou des États-Unis, d’autres sont venues du Canada central ou atlantique. Elles ont toutes été attirées vers l’Ouest canadien par la perspective de terres, de liberté et de nouvelles possibilités.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/KathleenRice/KathleenRiceProspector.jpg Dix pionnières de l’Ouest canadien
  • Article

    Dunington-Grubb, Lorrie Alfreda

    Elle épouse Howard Grubb en 1911(voir Howard DUNINGTON-GRUBB), prend le nom de Dunington-Grubb, et émigre au Canada.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/11b21eaf-49bf-4e94-8a82-6ae5cbd7f405.jpg Dunington-Grubb, Lorrie Alfreda
  • Article

    Henrietta Muir Edwards

    Henrietta Louise Edwards (née Muir), militante pour les droits des femmes, réformatrice, artiste (née le 18 décembre 1849 à Montréal, Canada-Est, décédée le 9 novembre 1931 à Fort Macleod, en Alberta). Henrietta Edwards lutte dès le jeune âge pour les droits et l’éducation des femmes, ainsi que pour leur travail et leur santé. Elle contribue à fonder un grand nombre de mouvements, de sociétés et d’organisations visant à améliorer la vie des femmes. Elle est l’une des cinq requérantes, ou « Cinq femmes célèbres », dans l’affaire « personne », la campagne réussie pour que les femmes soient déclarées des personnes aux yeux du droit britannique. Cependant, ses opinions sur l’immigration et l’eugénisme ont été critiquées comme étant racistes et élitistes. Henrietta Muir Edwards a été nommée Personnalité d’importance historique nationale en 1962 et sénatrice honoraire en 2009.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/s003703k.jpg Henrietta Muir Edwards
  • Article

    Épouses de guerre

    Le terme « épouses de guerre » fait référence aux femmes qui ont épousé des militaires canadiens à l’étranger et qui ont ensuite immigré au Canada après les guerres mondiales pour y rejoindre leur mari. Le terme est devenu populaire pendant la Deuxième Guerre mondiale, mais est aujourd’hui également utilisé pour décrire les femmes qui ont vécu une expérience similaire au cours de la Première Guerre mondiale. Il n’y a pas de chiffres officiels en ce qui concerne les épouses de guerre et leurs enfants durant la Première Guerre mondiale. Lors de la Deuxième Guerre mondiale, on estime qu’environ 48 000 femmes ont épousé des militaires canadiens à l’étranger. En date du 31 mars 1948, le gouvernement canadien avait transporté près de 43 500 épouses de guerre et environ 21 000 enfants au Canada.  

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/WarBrides/War Bride.jpg Épouses de guerre
  • Éditorial

    Arrivée des épouses de guerre et de leurs enfants au Canada

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. De 1942 à 1947, le gouvernement a fait venir au Canada 47 783 « épouses de guerre » et leurs 21 950 enfants. La plupart de ces femmes viennent de Grande-Bretagne, où les forces canadiennes sont postées pendant la Deuxième Guerre mondiale. Bien que le voyage et la transition s’avèrent difficiles pour beaucoup de ces femmes, la plupart ont réussi à s’adapter et à aimer leur patrie d’adoption.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/398e8ba8-53e8-4f87-b127-b5020c4969b1.jpg Arrivée des épouses de guerre et de leurs enfants au Canada
  • Article

    Feo Monck

    Frances Elizabeth Owen « Feo » Monck, auteure (née le 1eraoût 1835 à Charleville, Enniskerry, comté de Wicklow, Irlande; morte le 31 juillet 1919). Le beau-frère de Feo Monck était le gouverneur général vicomte Monck, et son mari, Richard Monck, a été secrétaire militaire du gouverneur général de 1864 à 1869. Quand lady Monck s’absentait, Feo la remplaçait en tant qu’hôtesse des événements sociaux vice-royaux, notamment lors du bal donné à l’occasion de la Conférence de Québec en 1864. Feo Monck a consigné ses impressions dans un livre, My Canadian Leaves: An Account of a Visit to Canada in 1864-1865.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/143f8587-f938-4cf1-bdc2-c441d02dc962.jpg Feo Monck
  • Article

    Gloria Baylis

    Gloria Leon Baylis (née Clarke), infirmière diplômée, militante des droits civils, fondatrice et propriétaire de la Baylis Medical Company (née le 29 juin 1929 à la Barbade; décédée le 12 avril 2017 à Montréal, au Québec). Gloria Baylis, une infirmière migrante des Antilles formée en Grande-Bretagne, a été le témoin principal dans l’affaire Sa Majesté la Reine, plaignante c. Hilton of Canada Ltd, accusé. (Voir aussi Canadiens d’origine antillaise.) Le 2 septembre 1964, au lendemain de l’adoption de la Loi sur la discrimination en matière d’emploi au Québec, Gloria Baylis s’est renseignée sur un poste permanent d’infirmière à temps partiel à l’hôtel Le Reine Elizabeth (QEH), exploité par Hilton of Canada. On lui a répondu que ce poste avait déjà été pourvu. Avec le soutien de la Negro Citizenship Association (NCA), Gloria Baylis a déposé une plainte. Le tribunal a conclu le 4 octobre 1965 que Hilton of Canada avait violé la Loi. Hilton of Canada fera appel de cette décision pendant 11 ans. Le 19 janvier 1977, la Cour d’appel du Québec a confirmé la condamnation initiale, exigeant une amende de 25 $ et les frais afférents. Cette affaire revêt une importance particulière. En effet, c’est la première fois, dans l’histoire du Canada, qu’une institution est reconnue coupable de discrimination raciale en matière d’emploi. (Voir aussi Préjugés et discrimination au Canada.)

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/gloriabaylis/gloriabaylis.jpg Gloria Baylis
  • Article

    Harriet Tubman

    Harriet Tubman (née Araminta « Minty » Ross), abolitionniste, « chef de train » du Chemin de fer clandestin (née dans le comté de Dorchester, Maryland, vers 1820 ; décédée à Auburn, New York, le 10 mars 1913). Harriet Tubman s’est échappée de l’esclavage dans le sud des États-Unis et est devenue une abolitionniste de premier plan jusqu’à la Guerre de Sécession. Elle a conduit de nombreux esclaves vers la liberté dans les États libres du Nord et jusqu’au Canada, par le chemin de fer clandestin, un réseau secret de trajets et de maisons sécurisées qui aidaient les esclaves à échapper à l’esclavage.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/b1c5dc55-3ca3-4cf5-acf2-274103343319.jpg Harriet Tubman
  • Article

    Hart, Julia Catherine

    Julia Catherine Hart, née Beckwith (Fredericton, 10 mars 1796 -- id., 28 nov. 1867). Elle est la première romancière canadienne de naissance à être publiée. Son roman, St.

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Hart, Julia Catherine
  • Article

    Isabel Mackenzie King

    Isabel Grace Mackenzie King (née le 6 février 1843 à New York, aux États-Unis; décédée le 18 décembre 1917 à Ottawa, en Ontario). Isabel Mackenzie King était la fille du dirigeant de la rébellion du Haut-Canada de 1837, William Lyon Mackenzie, et elle était également la mère du premier ministre, William Lyon Mackenzie King. Elle avait une relation intense avec son fils, et elle a soutenu le développement de sa carrière politique.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/Isabel-King/King-bathing.jpg Isabel Mackenzie King
  • Article

    Jennie Butchart

    Jeannette (Jennie) Foster Butchart (née Kennedy), jardinière, hôtesse (née en février 1865 à Toronto, en Ontario; décédée le 12 décembre 1950 à Victoria, en Colombie-Britannique). Jennie Butchart a créé l’une des principales attractions touristiques de la Colombie-Britannique, les Jardins Butchart, sur la propriété de sa famille située sur l’île de Vancouver. De 1904 à 1939, elle a aménagé plusieurs jardins de style français constitués de 900 variétés de plantes. Jennie Butchart a transformé une carrière de calcaire épuisée sur la propriété en un jardin emblématique appelé Sunken Garden (jardin encaissé). Durant des décennies, chaque année, elle a accueilli des dizaines de milliers de visiteurs dans ces jardins.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/JennieButchart/JennieButchart.jpg Jennie Butchart
  • Article

    Katherine Ryan (Klondike Kate)

    Katherine « Kate » Ryan (alias Klondike Kate), constable spéciale de la P.C.N.-O., restauratrice, infirmière (née le 20 août 1869 à Johnville au Nouveau-Brunswick; décédée le 20 février 1932 à Vancouver en Colombie-Britannique). Katherine Ryan a été surnommée « Klondike Kate » en raison de ses escapades au Yukon qui ont commencé durant la ruée vers l’or du Klondike. Lors de son voyage au Klondike, et lorsqu’elle s’est installée à Whitehorse, Katherine Ryan s’est fait un nom en ouvrant plusieurs restaurants. Elle a été l’une des premières femmes embauchées par la Police à cheval du Nord-Ouest. Katherine Ryan a d’abord été embauchée par la division de Whitehorse de la force en 1900 pour aider les prisonnières. Elle a éventuellement été nommée inspectrice chargée de rechercher l’or de contrebande.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/Kate-Ryan.jpg Katherine Ryan (Klondike Kate)
  • Article

    La Peltrie, Marie-Madeleine de Gruel de

    Le premier couvent des Ursulines est construit en 1642. Cette illustration de Joseph Légaré est une vue d'ensemble (avec la permission du couvent des Ursulines). La Peltrie, Marie-Madeleine de Gruel de Marie-Madeleine de Gruel de La Peltrie, née Chauvigny, protectrice des ursulines de Nouvelle-France (Alençon, France, 1603 -- Québec, 18 nov. 1671). Aristocrate de naissance, veuve à 22 ans, Mme de La Peltrie, influencée par les Relations des Jésuites, décide de consacrer sa vie et...

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/5fea8d5f-c017-4e25-8d5c-6949571d3798.jpg La Peltrie, Marie-Madeleine de Gruel de