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Adelaide Sinclair

Adelaide Sinclair, O.C., O.B.E., officière navale et fonctionnaire (née le 16 janvier 1900 à Toronto, en Ontario; décédée le 19 novembre 1982 à Ottawa, en Ontario). Adelaide Sinclair a été la première directrice canadienne du Service féminin de la Marine royale du Canada (1943-1946). Après la Deuxième Guerre mondiale, elle est devenue la déléguée canadienne de l’UNICEF. Elle a occupé le poste de directrice adjointe des programmes de l’UNICEF de 1957 à 1967.

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James Barry

James Miranda Steuart Barry, MSR (probablement né Margaret Anne Bulkley), chirurgien militaire et médecin (né entre 1789 et 1799; décédé le 25 juillet 1865 à Londres, en Angleterre). Déployé aux quatre coins de l’Empire britannique, James Barry procède à la réforme des normes médicales de l’armée britannique. Son dernier poste, au rang le plus élevé de sa carrière et qu’il occupe dans les années 1850, est celui d’inspecteur général des hôpitaux militaires de la province du Canada. Après sa mort, on rapporte qu’on lui a assigné le sexe féminin à la naissance. Émerge alors un débat important sur son identité.Remarque sur les pronoms : les pronoms masculins sont employés dans le présent article pour désigner James Barry, conformément à la manière dont il se référait à lui-même tout au long de sa vie.Cliquez ici pour obtenir la définition des termes clés utilisés dans cet article.

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Bertha Clark-Jones

Bertha Clark-Jones (née Houle), O.C., militante crie-métisse pour les droits des femmes et enfants autochtones (née le 6 novembre 1922 à Clear Hills, en Alberta; décédée le 21 octobre 2014 à Bonnyville, Alberta). Ancienne combattante de la Deuxième Guerre mondiale, Bertha Clark-Jones s’est jointe à la Aboriginal Veterans Society et a plaidé en faveur d’un traitement équitable pour les anciens combattants autochtones. Elle était cofondatrice et a été première présidente de l’Association des femmes autochtones du Canada. Bertha Clark-Jones a consacré sa vie à promouvoir l’égalité et un plus grand pouvoir pour les femmes du Canada.

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Bonnie Henry

Bonnie Henry, médecin hygiéniste en chef de la Colombie‑Britannique (2018 à ce jour), épidémiologiste, médecin (née en 1965, à Charlottetown, à l’Île‑du‑Prince‑Édouard). La docteure Bonnie Henry est surtout connue pour avoir dirigé la réponse de la Colombie‑Britannique à la pandémie de COVID‑19. Elle a également travaillé à l’éradication de la polio et à la limitation des effets du virus Ebola et du SRAS. Médecin de famille, elle est spécialisée en médecine préventive. Elle est la première femme à occuper le poste de médecin hygiéniste en chef de la Colombie‑Britannique. Cliquez ici pour consulter les définitions des termes clés utilisés dans cet article.

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Service féminin de l’Aviation royale canadienne

Les membres du Service féminin de l’Aviation royale canadienne (ARC) ont été pionnières en temps de guerre. Des milliers de jeunes femmes se sont portées volontaires pour servir au sein des forces armées aériennes, au pays et à l’étranger durant la Deuxième Guerre mondiale. En remplaçant les hommes dans des rôles de soutien à l’aviation, elles ont prouvé qu’elles étaient à la hauteur de leur devise : « Nous servons pour que les hommes puissent voler », et grâce à leurs états de services et leurs sacrifices, elles se sont assuré une place importante dans l’histoire du Canada.

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Edith Monture

Charlotte Edith Anderson Monture (aussi connue sous le nom d’Edith Monture), ancienne combattante mohawk durant la Première Guerre mondiale, infirmière diplômée (née le 10 avril 1890 sur la réserve des Six Nations située près de Brantford, en Ontario ; décédée le 3 avril 1996 à Ohsweken). Edith a été la première femme autochtone à devenir une infirmière diplômée au Canada et à obtenir le droit de vote pour des élections fédérales. C’est également la première autochtone du Canada à servir dans l’armée américaine. Edith a ouvert la voie aux femmes autochtones tant en ce qui a trait à leur inclusion dans les forces armées que pour le droit de vote fédéral. Une rue et un parc, la Edith Monture Avenue et le Edith Monture Park, ont été nommés en son honneur à Brantford, en Ontario.

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Femmes de la Marine canadienne pendant la Guerre froide

Pendant la Guerre froide, bon nombre de femmes font partie de la Marine royale canadienne (MRC). Souvent appelées « Wrens » pendant cette période, elles jouent un rôle important dans les missions et les opérations de la MRC, notamment celles liées à la lutte anti-sous-marine. En 1951, la Réserve navale canadienne commence à recruter des femmes, mais ce n’est qu’en 1955 que celles-ci commencent à intégrer la marine régulière. D’ailleurs, la MRC est la première marine du Commonwealth à accepter des femmes dans sa force permanente. Pendant bon nombre d’années, les Wrens occupent des métiers en zone côtière, notamment dans les domaines du commerce, des communications, du renseignement, de la détection de sous-marins et de la médecine. À la fin du conflit, tous les métiers et emplois de la marine, à l’exception de ceux du service sous-marin, sont ouverts aux femmes. (Voir aussi Le Canada et la Guerre froide; Femmes dans les forces armées.)

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Isabel Macneill

Isabel Janet Macneill, O.C., OBE, officière de marine et superviseure de système correctionnel (née le 4 juin 1908 à Halifax, en Nouvelle-Écosse; décédée le 18 août 1990 à Mill Village, en Nouvelle-Écosse). Isabel Macneill a été l’une des premières femmes à occuper des postes de direction non traditionnels. Elle a été la première femme commandante d’un navire de la marine dans le Commonwealth britannique, ainsi que la première femme surintendante de prison au Canada.

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Jean Flatt Davey

Jean Flatt Davey, O.C., OBE, médecin, officière de l’aviation royale (née le 16 mars 1909 à Hamilton, en Ontario; décédée le 13 mars 1980). Jean Flatt Davey a été la première femme médecin à devenir officière commissionnée dans les Forces armées canadiennes. De 1950 à 1965, elle a été médecin-chef du département de médecine du Women’s College Hospital de Toronto, en Ontario.

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Les infirmières militaires

Les femmes ont soigné des soldats blessés tout au long de l’histoire de la guerre au Canada. Les infirmières militaires ont exercé des fonctions officielles au sein de l’armée durant la Résistance du Nord-Ouest, la guerre d’Afrique du Sud, la Première Guerre mondiale, la Deuxième Guerre mondiale et la guerre de Corée. Au moins 70 d’entre elles sont décédées des suites d’actions ennemies ou de maladies durant leur service.

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Infirmières militaires du Service de santé de l’Armée canadienne

Plus de 2 800 infirmières civiles formées se sont enrôlées dans l’Armée canadienne durant la Première Guerre mondiale, devenant ainsi les premières femmes du monde moderne à détenir des commissions militaires en tant qu’officières. En tant que membres du Corps médical de l’Armée canadienne (CMAC), les infirmières militaires soignaient et prenaient soin des soldats blessés, à l’étranger et au pays. Au moins 58 d’entre elles sont décédées de maladie ou des conséquences d’actions ennemies durant la guerre.

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Les infirmières militaires et l’impact de la guerre sur les femmes

Nous célébrons l’héroïsme et pleurons les sacrifices de nos militaires au cours de deux guerres mondiales et autres conflits étrangers divers, et de missions de maintien de la paix. Pourtant, moins d’attention a été accordée aux efforts déployés par les femmes lors de ces événements, en particulier aux infirmières qui ont bâti leur propre tradition de service et de sacrifice.

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Lillian Freiman

Lillian Freiman (née Bilsky), OEB, philanthrope, activiste communautaire, organisatrice, leader civique et sioniste (née le 6 juin 1885 à Mattawa, en Ontario; décédée le 2 novembre 1940 à Montréal, au Québec). Lillian Freiman s’est appuyée sur son statut social élevé et sa fortune pour aider les personnes défavorisées, au sein de la communauté juive comme en dehors. Pour son travail d’assistance aux soldats de la Première Guerre mondiale et pour avoir dirigé la campagne du coquelicot, la Légion canadienne l’a nommée membre honoraire à vie en 1933. Elle a été la première femme à recevoir une telle distinction.

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Margaret Brooke

Margaret Martha Brooke, MBE, diététicienne, officier de marine, héros de guerre, paléontologue (née le 10 avril 1915 à Ardath, en Saskatchewan; décédée le 9 janvier 2016 à Victoria, en Colombie-Britannique). Margaret Brooke est infirmière militaire durant la Deuxième Guerre mondiale et survivante du torpillage du SS Caribou. Pour son héroïsme suite au naufrage, elle est faite membre de l’Ordre de l’Empire britannique (MBE). Elle est la première infirmière militaire à être ainsi décorée.  

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Mary Greyeyes Reid

Mary Greyeyes Reid, vétérane crie de la Deuxième Guerre mondiale (née le 14 novembre 1920 sur la réserve de la nation crie de Muskeg Lake, à Marcelin, en Saskatchewan; décédée le 31 mars 2011 à Vancouver, en Colombie-Britannique). La première femme autochtone à se joindre aux forces armées canadiennes, Mary Greyeyes devient membre du service féminin de l’armée canadienne durant la Deuxième Guerre mondiale. L’armée tente de stimuler le recrutement d’Autochtones et de démontrer la puissance militaire du Canada par l’entremise d’une photo orchestrée de Mary Greyeyes qui, depuis, a largement circulé dans le pays.