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Canal de Lachine

Le canal de Lachine traverse une part de l’île de Montréal, du Vieux-Port jusqu’au sud de l’arrondissement de Lachine, où il se jette dans le lac Saint-Louis.

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Réseaux des routes de traite des fourrures

Durant toute l’époque de la traite des fourrures (du début du 17e jusqu’à la fin du 19e siècle), les cours d’eau ont été les « autoroutes » naturelles des trappeurs des Premières Nations et des négociants en fourrures européens. Des réseaux de cours d’eau reliaient les sociétés autochtones de l’Atlantique, de la vallée du fleuve Saint-Laurent, des Grands Lacs et du bassin de la baie d’Hudson. La géographie hydrique de l’Amérique du Nord a facilité les voyages à l’intérieur du continent, permis l’expansion et la colonisation européenne dans l’Amérique du Nord autochtone et façonné les relations entre Européens et Autochtones dans le contexte de la traite des fourrures. Ce vaste système de rivières, de lacs et de portages sillonnait les territoires autochtones et a été utilisé pendant des générations. Au plus fort de la traite des fourrures, la principale route de canot s’étendait de l’île de Montréal à l’ouest, à travers les Grands Lacs, et de la rive nord-ouest du lac Supérieur, en passant par les hautes terres, jusqu’au bassin de la baie d’Hudson. À partir du bassin du lac Winnipeg, les trappeurs autochtones et les négociants européens se rendaient dans les Prairies de l’Ouest en utilisant les rivières Assiniboine, Qu’Appelle et Souris, et jusqu’au pied des Rocheuses en utilisant les branches nord et sud de la rivière Saskatchewan, pour aboutir dans la région de l’Athabasca en passant par la rivière Sturgeon-weir et le portage La Loche.

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Welland, canal

Le premier canal Welland, qui ouvre en 1829, est une voie vitale d'échange et de commerce au cœur de l'Amérique du Nord. Sa réalisation revient surtout à un homme d'affaires de St. Catharines, William Hamilton MERRITT.