Projet Mémoire

Grace Rose

Ce témoignage fait partie de l’archive du Projet mémoire

L'Institut Historica-Dominion
L'Institut Historica-Dominion
Grace Rose à Fredericton, Nouveau Brunswick, le 27 juillet 2010.
L'Institut Historica-Dominion
Grace Rose
Grace Rose
Grace Rose
Grace Rose
Grace Rose
Grace Rose (à droite) assise avec un ami devant le bureau de poste sur la base d'Hamilton, Ontario, vers 1944-45.
Grace Rose
Grace Rose
Grace Rose
Des amis devant le Mess des sergents à Hamilton, Ontario, 1944.
Grace Rose
Grace Rose
Grace Rose
Quartiers du Corps des Femmes de l'Armée Canadienne à Hamilton, Ontario, vers 1944-45.
Grace Rose
“J’étais très déçue car ma première affectation ça a été Toronto. Et bien sûr, on s’était engagées pour voyager.”

Transcription

Je me suis engagée [dans le Service féminin de l’Armée canadienne] et j’étais à la caserne Trinity à Toronto. Nous étions le dernier groupe formé par des hommes. Nous avons marché jusqu’aux manèges militaires. J’étais assez déçue parce que ma première affectation était à Toronto. Et bien sûr, on s’était engagées pour voir le monde.

Eh bien, on a appris à être autonome, puis j’ai été affectée à Hamilton, à l’École des métiers [de l’Armée canadienne]. Et j’y suis resté jusqu’au printemps 1945. Et on était tout un groupe. Nous servions les tables dans le plus grand mess des sergents du Commonwealth.

Et j’y suis restée jusqu’à ce que je parte travailler au bureau de poste. Et c’est là que j’ai rencontré mon mari. Il était en quarantaine parce qu’il avait les oreillons, et je distribuais le courrier. J’étais à Vancouver au mess des femmes officiers. Je travaillais, je faisais un peu de cuisine, je servais à table. J’ai tout simplement aimé ça. J’ai apprécié toutes les personnes que j’ai rencontrées pendant que j’étais dans les forces armées.