Ce châtiment enflamme l'imagination populaire et donne naissance à un grand nombre de légendes (voir Littérature orale de langue française). Après la découverte d'une cage de fer à proximité du cimetière de Lauzon vers 1850, Philippe Aubert de Gaspé tire de ces traditions orales matière à roman, dans Les Anciens Canadiens (1863). Plusieurs autres auteurs, dont Louis Fréchette, sir James MacPherson sir James MacPherson Lemoine et William Kirby, ajoutent à la légende en inventant crimes et détails horribles.
Parmi les nombreux ajouts on trouve les maris qu'elle aurait tués (dont le nombre varie entre 2 et 7), sa vie dissolue et les divers endroits qu'elle aurait hantés. En 1981, André LeBel publie le roman historique La Corriveau. Les aspects judiciaire de son cas sont discutés dans le livre de F. Murray Greenwood et Beverley Boissery, Uncertain Justice: Canadian Women and Capital Punishment 1754-1953 (2000).