Project Mémoire

Sol Morris (Source primaire)

Ce témoignage fait partie de l’archive du Projet mémoire

Sol Morris a servi comme ingénieur royal canadien durant la Deuxième Guerre mondiale. Lisez et écoutez son témoignage ci-dessous.

Prenez note que les sources primaires du Projet Memoire abordent des temoignages personnels qui refletent les interpretations de l'orateur. Les temoignages ne refletent pas necessairement les opinions du Projet Memoire ou de Historica Canada.


L'unité de Sol Morris du Corps Royal Canadien des Transmissions a pu voir Paris après que la guerre ne soit terminée. Monsieur Morris est le 5<sup>ème</sup> à droite.
Alors qu'il voyageaient en France après la fin de la guerre en juin 1945, l'unité de monsieur Morris s'est arrêtée pour voir le château de Versailles.
Sol Morris en Hollande en 1944.
Sol Morris en Angleterre en octobre 1945, avant qu'il ne rentre au Canada.le 28 décembre 1945.
Sol Morris (à droite) et James Rhodes, le plus jeune membre de l'unité de transmission. James fut tué sur le terrain le 23 juillet 1944 et enterré au cimetière de guerre de Beny-Sur-Mer.
La transcription en français n’est pas disponible en ce moment. Veuillez consulter la transcription en anglais.

Transcription

Je m’appelle Sol Morris. Je me suis joint à la Black Watch Reserve en avril 1940. J’ai intégré l’armée active en mai 1942. On m’a déployé à l’étranger vers Noël 1942. J’ai embarqué sur le LST le 2 juin 1944 et j’ai débarqué à la plage Juno le 6 juin à 8 h 30, le jour J. J’étais responsable du véhicule blindé de reconnaissance et j’étais attaché à la 16e compagnie de campagne, le Corps du génie royal canadien, mais j’ai débarqué avec des chenillettes porte-Bren du Régiment de la Chaudière. J’ai combattu en France, en Belgique, en Hollande et en Allemagne. Le 8 mai, lorsque la guerre a pris fin, j’étais en Allemagne, et je me dirigeais vers Wilhelmshaven, mais l’opération a été avortée. Je suis rentré chez moi le 28 décembre 1945.