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12e Régiment blindé du Canada

Le 12e Régiment blindé du Canada (12e RBC) est le plus jeune des trois régiments réguliers de l’Armée canadienne. Fondé en 1871 en tant que bataillon d’ infanterie de milice, il devient un régiment blindé en 1936. En 1968, le régiment de la Force régulière est formé et prend le nom de 12e Régiment blindé du Canada. Le régiment, ou certains de ses escadrons, participe à des opérations de paix et aux missions en Afghanistan. Depuis 1968, le 12e RBC opère depuis la base des Forces canadiennes Valcartier, au Québec. Il fait partie du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada, 2e Division.

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Affaire de la Somalie

En 1992-1993, le Canada a contribué des forces militaires à l’UNITAF, une mission humanitaire des Nations Unies dans la nation africaine de la Somalie. En 1993, des soldats canadiens du Régiment aéroporté, aujourd’hui dissolu, torturent et tuent le jeune Somalien Shidane Arone. Ces actes violents scandalisent les Canadiens, portent un rude coup à la réputation internationale du pays et mènent à une enquête publique qui révèle de graves problèmes de leadership dans les hautes sphères des Forces armées canadiennes. Conséquemment, des réformes sont mises en place pour améliorer le professionnalisme du corps des officiers. Cet article traite de thématiques délicates qui peuvent ne pas convenir à tous les publics.  

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Bataille de la poche de Medak

En 1993, durant la guerre civile en ex Yougoslavie, des Casques bleus canadiens progressent, conjointement avec la Force de protection des Nations Unies (ONU), dans une zone où s’opposent les forces croates et les forces rebelles serbes, avec pour ordre de mettre en place sur le terrain l’entente de cessez le feu de la poche de Medak, conclue entre les deux parties belligérantes. Les soldats du 2e Bataillon du Princess Patricia’s Canadian Light Infantry (2 PPCLI) subissent les attaques des forces croates pendant plus de 15 heures. S’ensuivent des échanges nourris, constituant la bataille la plus importante dans laquelle sont engagées des forces canadiennes depuis la guerre de Corée, à l’issue desquels le 2 PPCLI conserve ses positions et préserve la zone protégée de l’ONU. Le secrétaire général de l’ONU, Boutros Boutros Ghali, déclare à cette occasion que les soldats canadiens ont fait honneur à leur mission et ont sauvé des vies, renforçant ainsi la crédibilité des forces de maintien de la paix des Nations unies.

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Casques bleus canadiens au Rwanda

De 1993 à 1995, le Canada a été l’un des plus importants participants à une série d’opérations de maintien de la paix des Nations Unies dans la nation africaine du Rwanda. Malgré tout, la Mission des Nations Unies pour l’assistance au Rwanda (MINUAR), dirigée par le major général canadien Roméo Dallaire, n’a rien pu faire pour prévenir l’assassinat de quelque 800 000 Rwandais en 1994. Suivant le génocide, un nouveau contingent de troupes canadiennes est retourné au Rwanda dans le cadre de MINUAR II, dont la tâche est de restaurer l’ordre au pays et de venir en aide à la population dévastée. Des centaines de soldats canadiens, dont Roméo Dallaire, sont revenus du Rwanda traumatisés par ce qu’ils y ont vu.

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Casques bleus canadiens dans les Balkans

De 1991 à aujourd’hui, des membres des Forces armées canadiennes (FAC) et de la police civile, dont la Gendarmerie royale du Canada (GRC), ont servi dans le cadre d’opérations de maintien de la paix dans la région des Balkans. Leur mission a été de restaurer l’ordre et la sécurité suivant la chute de la République fédérale de Yougoslavie. Près que 40 000 Canadiens ont servi dans les Balkans, et 23 membres des FAC sont décédés dans le cadre de leurs fonctions.

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Casques bleus canadiens en Haïti

Depuis 1990, des Casques bleus provenant des Forces armées canadiennes (FAC) et des forces policières civiles, dont la Gendarmerie royale du Canada (GRC), ont servi en Haïti dans une foule de missions de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Le but de ces missions est d’aider à éradiquer la violence interne et l’instabilité civile qui accablent le pays depuis des années, ainsi que de protéger les droits de la personne et de renforcer les systèmes judiciaire et policier.

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Casques bleus canadiens en Somalie

En 1992, le Canada a contribué des forces militaires à l’UNITAF, une mission humanitaire des Nations Unies dans la nation africaine de la Somalie. La mission a été entravée par le fait que certaines des factions belligérantes du conflit somalien ont attaqué les forces internationales qui tentaient de rétablir l’ordre et de livrer de la nourriture à la population affamée. L’effort canadien a également été assombri par le meurtre d’un adolescent somalien par des troupes canadiennes. Le crime et son présumé camouflage par des fonctionnaires de la Défense à Ottawa sont devenus l’un des scandales les plus infâmes de l’histoire du Canada.

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Coquelicot du jour du Souvenir

Le coquelicot est le symbole du jour du Souvenir, inspiré par le poème « Au champ d’honneur », écrit par le lieutenant-colonel John McCrae. Le Canada a officiellement adopté le coquelicot comme symbole du Souvenir en 1921. La Légion royale canadienne vend des coquelicots à épingle que des millions de Canadiens portent durant plusieurs semaines avant le 11 novembre.

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Histoire des Forces armées au Canada

Les Forces armées désignent les trois commandements d’armée, soit la force navale, la force terrestre et la force aérienne commandées par le gouvernement fédéral dans le but de défendre la sécurité du Canada, de protéger ses citoyens et de promouvoir ses intérêts stratégiques à domicile et à l’étranger. Les Forces armées ont beaucoup changé depuis l’époque coloniale, passant de petites milices locales aux forces militaires professionnelles que l’on connaît aujourd’hui.

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Le Canada et le maintien de la paix

Le maintien de la paix est un terme généralement appliqué aux activités des Nations Unies dans les pays touchés par la guerre ou d’autres conflits. Les forces de maintien de la paix, ou Casques bleus, travaillent à assurer la paix et la sécurité, à protéger les droits de la personne et à aider à restaurer l’état de droit. Ces forces sont généralement composées de membres des forces armées ou de la police, ou encore d’experts civils. En raison du leadership de Lester Pearson dans la crise du canal de Suez en 1956 et du rôle que le Canada a joué dans la Force d’urgence de l’ONU qu’il a aidé à créer, beaucoup de Canadiens voient le maintien de la paix comme une partie intrinsèque de l’identité nationale. Cela étant dit, depuis les années 1990, la réputation de gardien de la paix du Canada a été mise à mal par les controverses et l’échec de certaines missions à l’étranger. Bien que la contribution du Canada aux opérations de maintien de la paix ait décliné depuis, les Casques bleus canadiens continuent d’œuvrer à l’international dans des pays comme le Mali. En tout, plus de 125 000 Canadiens ont participé aux activités de maintien de la paix de l’ONU. Les Canadiens se sont aussi impliqués dans des opérations de paix de l’OTAN approuvées par l’ONU et dans des missions financées par la Force multinationale et Observateurs (FMO). Environ 130 Canadiens sont décédés dans le cadre de missions de paix.

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North Shore (New Brunswick) Regiment

Le North Shore (NB) Regiment [NS(NB)R] (Régiment de la côte Nord du Nouveau‑Brunswick) est un régiment d’infanterie bilingue de la Première réserve de l’Armée canadienne. Il fait partie du 37e Groupe‑brigade du Canada au sein de la 5e Division du Canada. Son quartier général est situé à Bathurst, au Nouveau‑Brunswick. Le NS(NB)R a notamment acquis des honneurs de bataille lors de la Première Guerre mondiale, en 1917, à Passchendaele, à Ypres (deuxième bataille) et à la côte 70, ainsi qu’à l’occasion du débarquement en Normandie et de la bataille de l’Escaut, durant la Deuxième Guerre mondiale.

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Les prix Nobel et le Canada

Chaque année, on décerne les prix Nobel pour souligner les réalisations ayant rendu de grands services à l’humanité. Les prix sont parmi les plus hautes distinctions internationales, et sont remis dans six catégories : physique, chimie, physiologie ou médecine, littérature, paix et économie. C’est la fondation Nobel qui administre les prix, tandis que les prix eux-mêmes sont remis par des institutions suédoises et norvégiennes. Dix-huit Canadiens ont remporté des prix Nobel, sans compter les Canadiens de naissance qui ont abandonné leur citoyenneté et les membres d’organisations lauréates du prix Nobel de la paix.