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Col Rogers

Au cours de l'été de 1885, on construit à grands frais le chemin de fer qui traverse le col. On érige plus de 6,4 km de paravalanches (31) pour protéger les trains, les voies ferrées et les travailleurs contre les AVALANCHES (la région reçoit jusqu'à 15 m de neige pendant l'hiver).

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Piste Waskahegan

Dans l'Ouest du Canada, le peuplement mixte évolue graduellement vers les Prairies apr\u00e8s une zone de prairie-parc caractérisée par la présence de bosquets dispersés de trembles (photo de Tim Fitzharris). La piste Waskahegan est un sentier d'excursions régional d'une longueur de plus que 300 km aménagé à l'intérieur et autour de la ville d'EDMONTON, en Alberta. C'est d'abord un projet du centenaire de la...

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Piste West Coast

La piste West Coast, située sur la côte Ouest de l'ÎLE DE VANCOUVER, suit le parcours de 72 km du sentier historique des rescapés entre les localités de Bamfield et de Port Renfrew, en Colombie-Britannique.

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Portage

Le portage est une voie terrestre qui sert à contourner un obstacle sur une voie d'eau. Jusqu'au début du XIXe siècle, la plupart des habitants du Canada actuel voyagent surtout sur les cours d'eau. Alexander MACKENZIE et Simon FRASER prouvent qu'il est possible, en effectuant 100 portages, de relier en canot le Saint-Laurent aux océans Pacifique ou Arctique.

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Route Dewdney

À l'origine, la route Dewdney est une route de 400 km qui s'étend de Hope jusqu'au traversier de Galbraith, sur la rivière Kootenay.

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Sentier transcanadien

Le Sentier transcanadien s’étend sur plus de 27 000 km de voies navigables et terrestres reliant toutes les provinces et tous les territoires du Canada. Sa construction a débuté en 1992, dans le cadre des célébrations du 125eanniversaire du Canada. Il a été achevé, 25 ans plus tard, en 2017, l’année du 150eanniversaire de la Confédération. En 2016, le sentier change de nom, devenant le « Grand sentier ». Néanmoins, en juin 2021, le nom d’origine du sentier est repris. 

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Réseaux des routes de traite des fourrures

Durant toute l’époque de la traite des fourrures (du début du 17e jusqu’à la fin du 19e siècle), les cours d’eau ont été les « autoroutes » naturelles des trappeurs des Premières Nations et des négociants en fourrures européens. Des réseaux de cours d’eau reliaient les sociétés autochtones de l’Atlantique, de la vallée du fleuve Saint-Laurent, des Grands Lacs et du bassin de la baie d’Hudson. La géographie hydrique de l’Amérique du Nord a facilité les voyages à l’intérieur du continent, permis l’expansion et la colonisation européenne dans l’Amérique du Nord autochtone et façonné les relations entre Européens et Autochtones dans le contexte de la traite des fourrures. Ce vaste système de rivières, de lacs et de portages sillonnait les territoires autochtones et a été utilisé pendant des générations. Au plus fort de la traite des fourrures, la principale route de canot s’étendait de l’île de Montréal à l’ouest, à travers les Grands Lacs, et de la rive nord-ouest du lac Supérieur, en passant par les hautes terres, jusqu’au bassin de la baie d’Hudson. À partir du bassin du lac Winnipeg, les trappeurs autochtones et les négociants européens se rendaient dans les Prairies de l’Ouest en utilisant les rivières Assiniboine, Qu’Appelle et Souris, et jusqu’au pied des Rocheuses en utilisant les branches nord et sud de la rivière Saskatchewan, pour aboutir dans la région de l’Athabasca en passant par la rivière Sturgeon-weir et le portage La Loche.