Barrages et dérivations
Dans l'ensemble, le Canada est doté d'abondantes ressources d'eau douce, mais leur disponibilité varie considérablement d'une saison à l'autre ou d'une année à l'autre.
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Créer mon compteDans l'ensemble, le Canada est doté d'abondantes ressources d'eau douce, mais leur disponibilité varie considérablement d'une saison à l'autre ou d'une année à l'autre.
Une bonne façon d'expliquer ce qu'est le bitume est de le comparer au pétrole brut classique. Ce dernier est liquide, alors que le bitume ne l'est pas. À température ambiante, il ressemble à de la mélasse froide et doit être réchauffé ou dilué pour s'écouler.
Le charbon est un combustible fossile employé comme ressource énergétique au Canada depuis le 18e siècle. On trouve au Canada 0,6 % des ressources mondiales de charbon, et plus de 95 % du charbon canadien se situe en Alberta, en Colombie-Britannique et en Saskatchewan. Au cours des dernières années, l’industrie du charbon a été vivement critiquée par les environnementalistes, puisqu’elle détruit les écosystèmes locaux, engendre des risques pour la santé et contribue grandement au changement climatique par l’émission de dioxyde de carbone. Dans un effort pour diminuer ces émissions néfastes, le gouvernement fédéral a signalé son intention d’éliminer progressivement l’électricité à base d’énergie fossile d’ici 2030, et l’Alberta prévoit faire de même au sein de son territoire.
La classification des sols consiste à grouper en catégories les sols aux caractéristiques semblables. Les sols n'étant pas des entités discrètes, leur unité de mesure n'est pas évidente.
La Commission de la conservation est créée en 1909 pour dispenser aux gouvernements canadiens des conseils scientifiques fondés sur les données les plus récentes sur la CONSERVATION des ressources humaines et naturelles.
La conservation des sols combine toutes les méthodes de gestion et d'utilisation des terres qui préviennent la diminution ou la détérioration des sols par des causes naturelles ou humaines.
La Convention de la Baie-James et du Nord québécois (CBJNQ) est une entente juridique signée le 11 novembre 1975 entre les gouvernements du Québec et du Canada, Hydro-Québec et deux de ses filiales , puis le Grand conseil des Cris du Québec et l’Association des Inuit du Nord du Québec. Qualifiée de « premier traité moderne » par plusieurs, la CBJNQ redéfinit et encadre les relations entre l’État québécois et les nations autochtones de la baie James et du Nord du Québec, ainsi que la gestion du territoire (voir Projet de la baie James, Traités autochtones au Canada.)
La CMDE est formée pour étudier les principaux enjeux associés à l'environnement et au développement et pour mettre en place des idées adéquates et innovatrices pour les gérer. Le développement durable est proposé pour répondre à ce défi.
Il y a deux catégories d'énergie : primaire et secondaire. L'énergie primaire provient de ressources naturelles comme le rayonnement solaire, les chutes d'eau, le vent, le charbon, les produits pétroliers et l'uranium.
L’énergie marémotrice est une source d’énergie renouvelable largement sous-exploitée qui repose principalement sur la force de gravitation de la lune.
L’énergie contenue dans la lumière du soleil est la source de la vie sur terre. Les humains peuvent la capter et mettre sa puissance au service de leurs activités sans produire de dangereux polluants. Il existe de nombreuses méthodes pour la convertir en des formes d’énergie plus aisément utilisables, comme la chaleur ou l’électricité. Les technologies que nous employons pour ce faire ont une incidence relativement bénigne sur l’environnement. Cependant, elles présentent chacune des inconvénients qui ont nui à leur adoption à grande échelle.
Au Canada, la production d’électricité et de chaleur à partir de l’énergie solaire augmente rapidement et elle aide à réduire la pollution associée au secteur énergétique. Malgré le climat froid et les hautes latitudes du Canada (qui reçoivent moins d’ensoleillement direct que les latitudes moyennes), les technologies solaires sont exploitées en de nombreux endroits, depuis les toitures des maisons jusqu’aux grandes centrales électriques. La Régie canadienne de l’énergie (auparavant l’Office national de l’énergie) prévoit que l’énergie solaire représentera 3 % de la capacité totale de production d’électricité du Canada d’ici 2040.
À la fin des années 1980 et dans les années 1990, on assiste à une formidable évolution de la FORESTERIE tant au Canada que dans le reste du monde. Cette science a joué un rôle de plus en plus important pour l'ÉCONOMIE et l'ENVIRONNEMENT.
L'exploitation forestière consiste à abattre des arbres et à les acheminer jusqu'aux scieries, usine de pâte à papier et autres installations de transformation des produits forestiers.
La foresterie est la science et la pratique de l’entretien des forêts. La portée et la pratique de la foresterie ont évolué au cours du temps au Canada.
Parmi les 34 espèces de conifères de la forêt canadienne, on compte 9 espèces de PINS, 5 d'ÉPINETTES, 4 de GENÉVRIERS, 3 de PRUCHES, 3 de MÉLÈZES, 4 de SAPINS, 1 de THUYA (CÈDRE), 2 d'IFS et 1 de CYPRÈS. Le conifère se définit comme un arbre à bois tendre et à feuilles persistantes.
Le gaz naturel est l’une des sources d’énergie les plus en croissance au Canada. Considéré par plusieurs comme ayant révolutionné l’industrie de l’énergie, il est plus propre, abordable et polyvalent que les autres combustibles. Il peut générer de l’énergie et de la chaleur et sa composition peut être modifiée pour produire une grande variété de produits chimiques de base. Le gaz naturel brûle plus proprement et efficacement que les autres combustibles fossiles, libérant beaucoup moins de polluants nocifs dans l’atmosphère. Il n’a pas de couleur, d’odeur ou de forme et est plus léger que l’air. Il contient un mélange de gaz d’hydrocarbures, des composés organiques formés de molécules d’hydrogène et de carbone.
Les principaux consommateurs de gaz naturel sont les secteurs industriel (54,1 %), résidentiel (26,6 %) et commercial (19,3 %). Le Canada est le cinquième plus important producteur de gaz naturel au monde, après les États-Unis, la Russie, l’Iran et le Qatar. Actuellement, toutes les exportations canadiennes de gaz naturel sont envoyées aux États-Unis grâce à un réseau de pipelines, ce qui fait du Canada la plus grande source d’importation pour son voisin du sud. En 2016, le pays a produit 152 milliards de mètres cubes de gaz naturel. À la fin de l’année, les réserves connues du combustible, au Canada, étaient de 76,7 billions de pieds cubes. On estime que la consommation mondiale de gaz naturel doublera d’ici 2035.
On appelle habituellement gestion des ressources la responsabilité des gouvernements d'assurer l'utilisation judicieuse ou la préservation des ressources naturelles relevant de leur autorité.
Hydro-Québec dispose d'une puissance installée de plus de 31 500 MW, de source essentiellement hydroélectrique, donc renouvelable.