British American Land Company
À l'instigation de Galt, fondateur de la Canada Company, Edward Ellice, le plus important propriétaire absentéiste du Bas-Canada, et quelques autres fondent, le 20 mars 1834, la British American Land Company.
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Créer mon compteÀ l'instigation de Galt, fondateur de la Canada Company, Edward Ellice, le plus important propriétaire absentéiste du Bas-Canada, et quelques autres fondent, le 20 mars 1834, la British American Land Company.
Compagnie XY (Nouvelle Compagnie du Nord-Ouest). Ce nom est dérivé des marques que la compagnie inscrit sur ses ballots de marchandises pour les distinguer de ceux de la COMPAGNIE DU NORD-OUEST (CNO).
En 1779, des ingénieurs militaires du régiment britannique des Royal Engineers entreprennent, à la demande du gouverneur Haldimand, les premiers travaux publics (de petites écluses) aux rapides de Soulanges, en bordure du fleuve Saint-Laurent.
La pêche a attiré les premiers Européens vers ce qui est aujourd’hui le Canada, et constitue encore la principale ressource d'importantes régions côtières et continentales.
La King George's Sound Company (Richard Cadman Etches and Co.) est fondée à Londres en 1785 pour le commerce des fourrures sur la côte nord-ouest.
L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Dès les débuts de la Nouvelle-France, la traite des fourrures a été le poumon économique du Canada.
La London and Bristol Company, établie en 1610, est la première tentative officielle de coloniser TERRE-NEUVE. Un groupe de marchands « aventuriers » de Londres et de Bristol, en Angleterre, obtiennent une charte royale leur conférant le titre foncier de la côte est de Terre-Neuve.
Pro pelle cutem (expression latine signifiant « peau pour peau » est la devise traditionnelle de la Compagnie de la Baie d’Hudson [CBH]. Elle a été adoptée peu après que la compagnie a reçu sa charte en 1670, et a été incorporée dans les armoiries de la CBH, à part une brève période de changement d’image de marque entre 2002 et 2013.
Russe (le plus souvent un cosaque) pratiquant à son compte le commerce des ressources naturelles, particulièrement la traite des fourrures. Comme le coureur de bois, le promyshlenniki parcourt avec un instinct sûr les cours d'eau, les forêts et les contrées.
La région de l'avant-mont du Sud-Ouest de l'Alberta est le coeur de l'élevage à l'époque. Cette région demeure un centre de l'industrie contemporaine de l'élevage bovin.
En 1711, la South Sea Company reçoit sa charte du Parlement britannique, qui lui accorde le monopole de la côte Ouest des Amériques jusqu'à une distance de 300 lieues en mer.
La traite des fourrures a débuté au 17e siècle dans ce qui est aujourd’hui le Canada. Elle s’est poursuivie pendant plus de 250 ans. Les Européens commerçaient avec les peuples autochtones pour obtenir des peaux de castor. Cette industrie était alimentée par la forte demande en chapeaux de fourrure en Europe. La traite des fourrures est un des principaux motifs qui ont amené les Européens à explorer et coloniser le Canada. Elle est à l’origine des relations qui se sont établies entre les Européens et les peuples autochtones. (Cet article est un résumé en termes simples de la traite des fourrures. Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet, veuillez consulter notre article complet: Traite des fourrures au Canada.)
L’article suivant provient de notre série « Vancouver en vedette. » Les articles provenant des séries précédentes ne sont pas mis à jour. Lorsque le capitaine Jack Deighton et sa famille tirent leur canot sur le rivage sud de la baie Burrard en 1867, le capitaine est à nouveau en quête de richesse. Il a été marin à bord de plusieurs navires britanniques et américains, s’est joint à la ruée vers l’or de la Californie et de la région de Cariboo, a piloté des navires sur le fleuve Fraser et a tenu une taverne à New Westminster. Quand il arrive, il est de nouveau sans le sou, mais il ne tarde pas à se relancer en affaires et à construire le village appelé à devenir Vancouver.
L’article suivant provient de notre série « Vancouver en vedette. » Les articles provenant des séries précédentes ne sont pas mis à jour. La Compagnie de la Baie d’Hudson revendique la propriété d’un lot sur le coin nord-est des rues Georgia et Granville en 1893. L’édifice est resté là depuis, s’adaptant à l’évolution des modes, des technologies et des politiques tout en bénéficiant de quelques améliorations architecturales.
Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (21/08/1995)