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Jean Flatt Davey
Jean Flatt Davey, O.C., OBE, médecin, officière de l’aviation royale (née le 16 mars 1909 à Hamilton, en Ontario; décédée le 13 mars 1980). Jean Flatt Davey a été la première femme médecin à devenir officière commissionnée dans les Forces armées canadiennes. De 1950 à 1965, elle a été médecin-chef du département de médecine du Women’s College Hospital de Toronto, en Ontario.
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Jean Lumb
Jean Bessie Lumb (née Toy Jin Wong), C.M., dirigeante communautaire, restauratrice (née le 30 juillet 1919 à Nanaimo, en Colombie Britannique; décédée le 17 juillet 2002 à Toronto, en Ontario). Jean Lumb a été la première Sino Canadienne et la première restauratrice intronisée dans l’Ordre du Canada. Elle est notamment connue pour ses succès comme lobbyiste auprès du gouvernement fédéral en vue de modifier les politiques d’immigration discriminatoires canadiennes ayant abouti à la séparation des familles chinoises. Elle a également dirigé le comité Save Chinatown, qui cherchait à empêcher la poursuite des démolitions dans le quartier chinois de Toronto dans les années 1960.
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Josephine Mandamin
Josephine Henrietta Mandamin, aînée anichinabée, activiste des droits à l’eau, commissaire en chef des eaux de la nation anichinabée (née le 21 février 1942 dans le territoire non cédé de Wiikwemikoong, à l’île Manitoulin en Ontario; décédée le 22 février 2019). L’aînée Josephine Mandamin, connue sous le nom de « Grandmother Water Walker » (grand-mère marcheuse d’eau) et Biidaasige-ba (« celle qui vient avec la lumière ») était une activiste des droits relatifs à l’eau de renommée mondiale. Elle a marché autour des Grands Lacs de 2003 à 2017 afin de sensibiliser la population aux problèmes de la pollution de l’eau et de la dégradation environnementale des Grands Lacs et des réserves autochtones au Canada. Pour son activisme, Josephine Mandamin a reçu le prix Anishinabek Lifetime Achievement (2012) et la Croix du service méritoire du gouverneur général (2018). Sa petite-nièce, Autumn Peltier, a suivi ses traces en devenant la « guerrière de l’eau » de la génération suivante.
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Journée de la Robe Rouge
La Journée de la robe rouge, également connue sous le nom de Journée nationale de sensibilisation aux femmes et aux filles, ainsi qu’aux personnes bispirituelles autochtones disparues et assassinées, est observée le 5 mai. Elle est l’occasion de rendre hommage aux milliers de femmes, de filles et de personnes bispirituelles autochtones victimes d’une violence disproportionnée au Canada et de sensibiliser la population à cet enjeu. Elle a été inspirée par le projet REDress, une installation de l’artiste métisse Jaime Black, dans le cadre de laquelle elle a accroché des robes rouges vides représentant les femmes disparues et assassinées, ces robes rouges étant ensuite devenues le symbole de la crise persistante entourant les femmes, les filles et les personnes spirituelles autochtones tuées ou disparues.
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Judith Jasmin
Judith Jasmin, journaliste, comédienne et réalisatrice (née le 19 juillet 1916 à Terrebonne, au Québec; décédée le 20 octobre 1972 à Montréal). Véritable pionnière du journalisme au Québec, Judith Jasmin est aussi la première Canadienne à avoir fait sa marque comme grand reporter et comme correspondante à l’étranger. Elle a également été la première à faire du journalisme politique et international.
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Jully Black
Jully Ann Inderia Gordon, chanteuse, compositrice, actrice, femme de télévision (née le 8 novembre 1977 à Toronto, en Ontario). Jully Black est connue comme étant la « reine canadienne du R&B ». En 2013, CBC Music l’a nommée dans sa liste des 25 plus grands interprètes canadiens de tous les temps. Sa voix riche d’alto empreinte d’âme a été comparée à celles de Tina Turner et d’Amy Winehouse. Elle a remporté un prix Juno sur dix nominations et a écrit des chansons pour Destiny’s Child, Nas, Sean Paul et Missy Elliot, entre autres. Elle a également créé sa propre compagnie d’enregistrement, de gestion et d’édition, ainsi que sa propre entreprise d’entraînement physique. Jully Black a joué sur scène dans une production torontoise de la pièce de trey anthony « da Kink in my Hair, ainsi que dans la pièce Caroline, or Change de Tony Kushner et Jeanine Tesori; cette dernière lui a valu un Dora Award en 2020. Elle est également animatrice de télévision, de radio et une juge invitée très populaire. Elle a été intronisée à l’Allée des célébrités canadiennes en 2021.
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Justine Lacoste-Beaubien
Justine Lacoste-Beaubien, C.B.E., fondatrice et administratrice de l’Hôpital Sainte-Justine (née le 1er octobre 1877 à Montréal, Québec; décédée le 17 janvier 1967 à Montréal). Gestionnaire chevronnée, elle préside le conseil d’administration de l’Hôpital Sainte-Justine de 1907 à 1966 et réalise le projet de faire de cet hôpital un centre universitaire d’études et de recherches affilié à l’Université Laval à Montréal (aujourd’hui l’Université de Montréal). De 1950 à 1957, elle fait construire sur le chemin de la Côte-Sainte-Catherine un hôpital à la fine pointe de la technologie au service des enfants malades. Plus de 100 ans après sa fondation, le Centre hospitalier universitaire (CHU) Sainte-Justine est le plus grand centre mère-enfant au pays et le seul établissement au Québec voué exclusivement à la pédiatrie et à l’obstétrique.
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Kathleen Wynne
Kathleen O’Day Wynne, vingt-cinquième première ministre de l’Ontario (de 2013 à 2018), députée provinciale de 2003 au présent, conseillère scolaire, militante communautaire, médiatrice et enseignante (née le 21 mars 1953 à Toronto en Ontario). Kathleen Wynne s’est appuyée sur ses compétences de médiatrice et sur sa grande détermination pour faire avancer sa carrière politique et devenir la première femme à occuper les fonctions de premier ministre de l’Ontario et le premier chef de gouvernement au Canada ouvertement homosexuel.
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Kay Livingstone
Kathleen (Kay) Livingstone (née Jenkins), organisatrice et militante, animatrice radio, actrice (née le 13 octobre 1919 à London, en Ontario; décédée le 25 juillet 1975). En 1951, Kay Livingstone fonde la Canadian Negro Women’s Association et en 1973, elle organise le premier congrès des femmes noires du Canada. Animatrice radio et actrice de renom, Kay Livingstone dévoue une bonne partie de sa vie et de son énergie au militantisme et à l’organisation. Son travail acharné pour encourager la tenue d’une discussion nationale autour de la position des citoyens racialisés dans la société, en particulier des femmes noires, pousse Kay Livingstone à inventer l’expression minorité visible en 1975.
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k.d. lang
k.d. lang (Kathryn Dawn). Auteure-compositrice-interprète (Edmonton, 2 novembre 1961). LL.D. h.c. (Alberta) 2008.
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Macleans
k.d. lang (Profile)
Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (06/11/1995)
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Marie-Anne Lagimodière
Marie-Anne Lagimodière (née Gaboury), pionnière (née le 2 août 1780 à Maskinongé au Québec; décédée le 14 décembre 1875 à Saint-Boniface, au Manitoba). Marie-Anne a accompagné son mari Jean-Baptiste Lagimodière, commerçant de fourrures à la région que l’on connaît aujourd’hui comme l’Ouest canadien, où elle était l’une des premières femmes d’origine européenne. Ils sont devenus deux des premiers colons de la rivière Rouge. Marie-Anne Lagimodière était la grand-mère de Louis Riel, chef métis de la Rébellion de la rivière Rouge.
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Les femmes et la traite des fourrures
En 1639, un Algonquin déclarait au jésuite missionnaire Paul Le Jeune : « Vivre parmi nous sans femme, c’est vivre sans aide et sans foyer et être condamné à une errance permanente. » S’il est vrai que l’importance d’avoir un foyer et une femme ne voulait peut‑être plus dire grand‑chose pour ce prêtre jésuite, itinérant et célibataire, pour de nombreuses Premières Nations, cette citation évoque les avantages sociaux, économiques et politiques du mariage, en particulier dans le contexte de la traite des fourrures. Les femmes autochtones fabriquent et raccommodent les vêtements, conservent les viandes, récoltent le sucre d’érable et des légumes racines comme les navets, piègent le petit gibier, attrapent les poissons avec des filets et cultivent le riz sauvage, toute une palette d’activités absolument essentielles pour la survie et la subsistance dans les forêts boréales, les terres boisées des prairies et les plaines nordiques où vivent les sociétés de la traite des fourrures. Les mariages entre les clans (voir Clan) permettent aux femmes des Premières Nations, dans le contexte d’un vaste monde autochtone interconnecté, de forger des lignées de parenté étendues, d’établir des obligations sociales et des liens réciproques et de négocier l’accès à des ressources communes et leur utilisation. Les mariages entre différents villages, différents clans et différentes Premières Nations façonnent la politique régionale, encouragent les alliances matrimoniales latérales et créent un réseau de parenté étendu géographiquement diversifié, sur l’ensemble du territoire des bassins versants des Grands Lacs et du Saint‑Laurent ainsi que de la baie d’Hudson et de la côte du Pacifique (voir L’océan Pacifique et le Canada).
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Les femmes et le sport au Canada : une histoire
Pendant des centaines d’années, très peu de sports étaient considérés appropriés pour les femmes, que ce soit en raison de leur prétendue fragilité physique ou les prétendus dangers moraux d’un exercice vigoureux. Toutefois, depuis la fin du 19e siècle, les femmes du Canada se sont mises à participer à de plus en plus de sports, non seulement à ceux qui étaient considérés comme étant gracieux et féminins, mais également aux sports suintants et violents traditionnellement pratiqués uniquement par les hommes (comme le hockey, la boxe, le soccer et le rugby).
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Éditorial
Les femmes sur les billets de banque canadiens
L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Le visage de la reine Elizabeth II figure sur le billet de 20 $ depuis les huit ans du monarque; les femmes canadiennes identifiables, elles, ne sont pourtant apparues sur un billet de banque canadien qu’une seule fois. En 2004, la statue des Cinq femmes célèbres de la Colline du Parlement et de la Plaza olympique à Calgary ainsi que la médaille du Prix Thérèse-Casgrain du bénévolat figuraient au verso du billet de 50 $. Ces femmes ont été les premières Canadiennes à être illustrées sur notre monnaie. En 2011, toutefois, on les a remplacées par un brise-glace nommé en l’honneur d’un homme (voir Roald Amundsen). Le nouveau billet fait partie d’une série visant à souligner l’innovation et les réalisations techniques, série qui apporte son lot de controverse. À l’exception d’une scientifique anonyme illustrée sur le billet de 100 $ émis en 2011, et de deux femmes officières des Forces armées et une jeune fille sur le billet de 10 $ émis en 2001, les femmes canadiennes brillent par leur absence des billets canadiens. Le 8 mars 2016, Journée internationale de la femme, la Banque du Canada lance une consultation publique afin de désigner un personnage emblématique féminin à mettre en vedette sur un billet de banque publié dans la prochaine série, dont l’impression est prévue pour 2018. Plus de 26 000 personnes répondent à l’appel, envoyant leurs idées. Parmi les noms suggérés, 461 satisfont aux critères d’admissibilité. La liste est ensuite raccourcie à 12 noms, et finalement on crée une liste courte de 5 candidates. On annoncera la sélection finale le 8 décembre 2016. Mais comment en est-on arrivé là?
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