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Article
Haudenosaunee (Iroquois)
Les Haudenosaunee, ou « peuple des maisons longues », communément appelés « Iroquois » ou « Six Nations », sont membres d’une confédération de nations autochtones connues sous le nom de Confédération Haudenosaunee. À l’origine, la confédération était composée de cinq nations habitant la partie nord de l’État de New York et elle comprenait les Sénécas, les Cayugas, les Oneidas, les Onondagas et les Kanyen'kehà:ka (Mohawks). Lorsque les Tuscaroras se sont joints à la Confédération au début du 18e siècle, elle est devenue connue sous le nom de Six Nations. Aujourd’hui, les Haudenosaunee vivent dans des réserves bien peuplées aux États-Unis, ainsi que dans d’autres communautés hors réserve.
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Collection
Inuit
Cette collection étudie la culture, l’histoire et la société inuites au moyen d’expositions, d’images, de vidéos et d’articles. Ces sources illustrent également l’importance des terres de l’Arctique, des animaux et de l’environnement pour l’identité inuite et la vie dans le Nord.
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Éditorial
Éditorial : L’arrivée des loyalistes noirs en Nouvelle-Écosse
L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. « La liberté et une ferme. » La promesse est attrayante pour des milliers d’Afro-Américains qui se sont battus dans des régiments britanniques lors de la Révolution américaine (1775-1783) et qui cherchent à fuir l’esclavage. Suivant la guerre, ils se joignent à des dizaines de milliers de loyalistes, des réfugiés américains s’étant battus aux côtés des Britanniques. Entre 80 000 et 100 000 loyalistes en viennent à fuir les États-Unis. Près de la moitié d’entre eux se rendent en Amérique du Nord britannique. Les vagues principales arrivent en 1783 et 1784. Le territoire qui comprend aujourd’hui les provinces maritimes devient le domicile de plus de 30 000 loyalistes. Les colons décident alors de s’installer principalement sur les côtes de la Nouvelle-Écosse, au Cap-Breton et à l’Île-du-Prince-Édouard (alors nommée l’Île-Saint-Jean).
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Article
Les « mères fondatrices » de l’immersion française au Canada
Olga Melikoff, Murielle Parkes et Valerie Neale ont été à la tête d’un groupe de parents dont l’action a favorisé la création, en 1965, du premier programme d’éducation bilingue à l’école élémentaire Margaret Pendlebury, située à Saint‑Lambert, une banlieue de Montréal, au Québec. Leur militantisme en matière éducative a jeté les bases du système d’immersion en français au Canada. Les efforts déployés dans ce domaine par Olga Melikoff, Murielle Parkes et Valerie Neale leur ont valu le surnom de « mères fondatrices » de l’immersion en français au Canada.
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Éditorial
Les Métis sont un peuple, pas un processus historique
Afin de promouvoir une meilleure compréhension de la question complexe de l’identité métisse et de son évolution au fil du temps, L’Encyclopédie canadienne a commandé deux articles d'opinion qui explorent différentes perspectives liées à ce sujet. Cet article se penche sur l’identité métisse selon le point de vue des Métis ayant des liens ancestraux avec la colonie de la rivière Rouge. Pour une autre perspective sur l'identité métisse, voir Les « autres » Métis.
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Article
Milléniaux au Canada
La génération des milléniaux (aussi connue sous le nom de génération Y) englobe généralement les personnes nées entre les années 1980 et 1996, bien que certaines définitions soient plus restrictives (voir Population du Canada). La plupart des milléniaux sont des enfants des baby-boomers, soit les personnes nées tout de suite après la Deuxième Guerre mondiale. Ils sont souvent caractérisés par les traits que leur ont transmis leurs parents, mais qui les opposent aussi à ces derniers.
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Les Montagnards
Les Montagnards. Nom adopté par diverses sociétés chorales montréalaises et québécoises à la suite de la tournée au Québec (août 1856) des Montagnards basques, troupe française dirigée par Alfred Rolland.
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Les mots en inuktitut pour la neige et la glace
On entend souvent dire que les Inuits ont des dizaines de mots pour désigner la neige et la glace. L'anthropologue John Steckley, dans son ouvrage White Lies about the Inuit (2007) a fait remarquer que le total le plus souvent cité est de 52 termes différents en inuktitut. Cette croyance en un nombre élevé de mots pour « neige » et « glace » a ensuite été vertement critiquée par bon nombre de linguistes et d'anthropologues.
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Les mots inuits pour la neige et la glace
On entend souvent dire que les Inuits ont des dizaines de mots pour désigner la neige et la glace. L'anthropologue ontarien John Steckley (dans White Lies about the Inuit, 2008) a fait remarquer que selon la croyance populaire, en inuktitut, la langue des Inuits de l'Arctique oriental canadien, le nombre de mots pour « neige » contient généralement le chiffre deux, et que le total le plus souvent cité est de 52 termes différents.
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Les peuples autochtones et les guerres mondiales
Des milliers d’Autochtones ont servi dans les Forces armées canadiennes pendant la Première Guerre mondiale, la Deuxième Guerre mondiale, la plupart du temps en tant que volontaires. Sur le front intérieur, la plupart des communautés autochtones ont participé à l’effort national de guerre selon différentes modalités. Les guerres mondiales ont représenté pour les peuples autochtones du Canada des événements historiques d’une portée considérable. (Voir Les peuples autochtones et la Première Guerre mondiale et Les peuples autochtones et la Deuxième Guerre mondiale.) Ces conflits ont offert à des populations marginalisées des occasions de redonner vie à des cultures guerrières traditionnelles, de réaffirmer le caractère sacré des traités conclus avec le Canada, de prouver leur valeur à une population canadienne qui les considérait avec indifférence, de briser les barrières sociales et de trouver de bons emplois.
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Les quatre rois du Canada
Les quatre rois du Canada sont d’éminents chefs de la Confédération Haudenosaunee qui se sont rendus à Londres pour demander une invasion britannique du Canada français en 1710 pendant la guerre de Succession d’Espagne (Queen Anne’s War en anglais). Ils offrent à la reine Anne un wampum et reçoivent de nombreux cadeaux, dont de l’argenterie de communion de la reine Anne qui se trouve aujourd’hui dans deux chapelles royales mohawks. La grande visibilité de l’accueil des quatre rois du Canada renforce l’alliance militaire entre la Confédération Haudenosaunee et la Grande-Bretagne et façonne la perception des Britanniques à l’égard des peuples autochtones d’Amérique du Nord au début du XVIIIe siècle.
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Siksika (Pieds-Noirs)
Les Siksika, aussi connus sous l’appellation de Pieds‑Noirs, sont l’une des trois nations qui composent la Confédération des Pieds‑Noirs. (Les deux autres sont les Piikani et les Kainai.) Dans la langue des Pieds‑Noirs, Siksika signifie « Pieds‑Noirs ». En janvier 2024, la nation des Siksika dénombre 7 767 membres inscrits, 4 218 d’entre eux vivant dans une réserve en Alberta.
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George Morton et la lutte pour le combat: volontaires noirs durant la Première Guerre mondiale
L’archiviste Barbara M. Wilson analyse l’importance d’une lettre adressée à sir Sam Hughes par George Morton, un défenseur des droits civiques, originaire de Hamilton, en Ontario, qui exerçait le métier de coiffeur et de facteur. Dans sa lettre, datée du 7 septembre 1915, il demande au ministre de la Milice et de la Défense pourquoi les membres de la communauté noire ont été refoulés lorsqu’ils ont tenté de s’enrôler pour servir dans le Corps expéditionnaire canadien pendant la Première Guerre mondiale. (See also Volontaires noirs dans le Corps expéditionnaire canadien.)
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Canadiens d’origine lettone
La Lettonie est un petit pays situé sur la côte est de la mer Baltique. Il a des frontières communes avec la Russie, la Lituanie, le Bélarus et l’Estonie. Constituée en tant qu’État indépendant après la Première Guerre mondiale, la Lettonie est occupée par l’Union soviétique en 1940, ensuite par les nazis de 1941 à 1944, puis de nouveau par l’Union soviétique. En 1945, 110 000 Lettons ayant fui vers l’Europe de l’Ouest sont classés comme personnes déplacées. De ce nombre, 14 911 immigrent éventuellement au Canada. Le recensement de 2016 fait état de 30 725 personnes d’origine lettone au Canada (7040 de réponses uniques et 23 685 de réponses multiples).
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Georges-Henri Lévesque
Georges-Henri Lévesque, prêtre, sociologue, administrateur (né le 16 février 1903 à Roberval, QC; décédé le 15 janvier 2000). Après des études au collège dominicain d'Ottawa et à l'U. de Lille, en France, il enseigne au collège dominicain ainsi qu'à l'U. de Montréal et à l'U. Laval.
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