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Commerce triangulaire
Le commerce triangulaire est une route commerciale qui reliait autrefois la France, la Nouvelle-France et les Antilles. Instauré par le contrôleur des finances françaises Jean-Baptiste Colbert et appliqué au Canada en 1667 par Jean Talon, l’intendant de la Nouvelle-France, le commerce triangulaire va permette à la colonie de diversifier son économie et de se positionner dans les grands réseaux de commerce internationaux.
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Grève de l'amiante de 1949 (résumé en langage simple)
L’amiante est un minéral. Il sert à plusieurs fins. Par exemple, on peut l’utiliser pour l’isolation, les fours et les plaquettes de frein. Le Québec était le pays qui produisait le plus d’amiante au monde en 1949, soit 85 %. En février 1949, des milliers de mineurs d’une ville appelée Asbestos et de Thetford Mines déclenchent une grève (voir Val-des-Sources (Asbestos)). Le gouvernement du Québec s’oppose aux travailleurs. Il se range du côté du principal employeur, l’entreprise américaine Johns-Manville. L’Église catholique appuie les travailleurs (voir Catholicisme au Canada). Cela provoque un conflit entre le gouvernement et l’Église. La grève est connue pour deux raisons principales. Premièrement, elle est violente. Deuxièmement, elle contribue à établir les bases de la Révolution tranquille des années 1960. La Révolution tranquille marque une période où les francophones occupent davantage de postes de direction au Québec. Cet article est un résumé en langage simple sur la grève de l’amiante de 1949. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, intitulé Grève de l’amiante de 1949.
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La résistance et les pensionnats indiens
Les pensionnats indiens étaient des écoles religieuses qui étaient parrainées par le gouvernement et que de nombreux enfants autochtones ont été forcés de fréquenter. Elles ont été instaurées afin d’assimiler les enfants autochtones à la culture euro-canadienne. Les enfants et les parents autochtones n’ont pas simplement accepté le système des pensionnats indiens. Les peuples autochtones se sont battus contre l’État, les écoles et d’autres principaux intervenants du système, et s’y sont également impliqués. Pendant la durée de l’ère des pensionnats indiens, les parents ont agi dans l’intérêt de leurs enfants et de leurs communautés. Les enfants ont réagi de manière à pouvoir survivre.
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Nunavik
Le Nunavik, le territoire correspondant à la partie de la province de Québec située au nord du 55e parallèle, couvre approximativement 500 000 km2 soit plus du tiers de la province de Québec. Depuis à peu près 4 000 ans, plusieurs peuples autochtones ont vécu au Nunavik, dont les Inuits qui en ont fait leur pays. De nos jours, à peu près 13 000 personnes vivent au Nunavik, dans 14 villages situés sur les côtes de la baie d’Ungava, du détroit d’Hudson et de l’est de la baie d’Hudson.
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Québec
Le Québec est la plus grande des provinces canadiennes. Son territoire représente 15,5 % de celui du Canada et s'étend sur plus de 1,5 million de km². Elle possède des frontières communes avec les provinces de l'Ontario, du Nouveau-Brunswick et de Terre-Neuve. Le Québec partage aussi ses frontières avec quatre États américains : le Maine, le New Hampshire, le Vermont et l'État de New York. Le mot « Québec » tire son origine d'un mot algonquien signifiant « là où la rivière se rétrécit ». En Nouvelle-France, les Français l’utilisent exclusivement pour désigner la ville. Ce sont les Britanniques qui sont les premiers à employer le nom pour l'ensemble de la province.
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Traumatisme intergénérationnel et les pensionnats indiens
Le traumatisme historique se produit lorsqu’un traumatisme causé par l’oppression historique se transmet de génération en génération. Pendant plus de 100 ans, le gouvernement canadien a soutenu les programmes de pensionnats indiens qui isolaient les enfants autochtones de leurs familles et de leurs communautés (voir Pensionnats indiens au Canada). Sous le couvert de l’éducation et de la préparation des enfants autochtones à leur participation à la société canadienne, le gouvernement fédéral ainsi que d’autres administrations du système des pensionnats indiens ont commis ce qui a depuis été décrit comme un acte de génocide culturel. Lorsque des générations d’élèves ont quitté ces institutions, ils sont retournés dans leurs communautés sans les connaissances, les aptitudes ou les outils nécessaires pour affronter l’un ou l’autre monde. Les répercussions de leur vécu dans les pensionnats indiens continuent d’être ressenties par les générations suivantes. C’est ce qu’on appelle le traumatisme intergénérationnel. Ce texte est l’article intégral sur le traumatisme intergénérationnel et les pensionnats indiens. Si vous souhaitez lire un résumé en langage simple, veuillez consulter notre article Traumatisme intergénérationnel et les pensionnats indiens (résumé en langage simple).
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