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    Samuel Hearne

    Samuel Hearne, explorateur, négociant en fourrures, auteur, naturaliste (né en 1745 à Londres, en Angleterre; décédé en novembre 1792 à Londres, en Angleterre).

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/ae69d3f2-aebe-4a53-b1a8-ddfebac57e3f.jpg Samuel Hearne
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    Henry, Alexander

    Alexander Henry, commerçant de fourrures (New Jersey, août 1739 -- Montréal, 4 avril 1824).

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/a988aa22-bfba-4635-a6d5-8c15fbcd0c0f.jpg Henry, Alexander
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    Henry, Alexander (le jeune)

    Alexander Henry, dit « le jeune », commerçant de fourrures (décédé à Fort George [Astoria, Ore.], 22 mai 1814), neveu d'Alexander Henry, dit « l'aîné ».

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Henry, Alexander (le jeune)
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    Hivernants

    Les hivernants sont des traitants et des engagés, notamment ceux de la COMPAGNIE DU NORD-OUEST, qui passent tout l'hiver dans la forêt à faire la traite des fourrures.

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Hivernants
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    Isobel Gunn

    Isobel Gunn (parfois orthographié Isabel, alias Isabella Gunn, John Fubbister et Mary Fubbister), manœuvre (née le 10 août 1780 à Tankerness, en Écosse; décédée le 7 novembre 1861 à Stromness, en Écosse). Au 19e siècle, Isobel Gunn se déguise en homme pour pouvoir travailler pour la Compagnie de la Baie d’Hudson. Elle se rend à la Terre de Rupert (territoire aujourd’hui incorporé au Canada) pour travailler dans le commerce des fourrures. C’est selon toute vraisemblance la première femme européenne dans l’ouest du Canada.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/e205bf43-b721-4b81-8dfc-84b31d99794a.jpg Isobel Gunn
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    James McGill

    James McGill, marchand de fourrure, commerçant, homme politique, philanthrope (né le 6 octobre 1744 à Glasgow, en Écosse; mort le 19 décembre 1813 à Montréal, au Bas-Canada). James McGill était un des citoyens les plus en vue de Montréal au 18e siècle et au début du 19e siècle. Parti d’une carrière prospère dans la traite des fourrures, il a établi un empire commercial. James McGill a aussi occupé plusieurs charges publiques, dont trois mandats à la législature du Bas-Canada. Son testament contenait une dotation pour l’Université McGill. Ses réalisations ne peuvent être dissociées du fait qu’il a pratiqué l’esclavage des personnes noires et autochtones et tiré profit de cette pratique. 

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/JamesMcGill/James_McGill_portrait.jpg James McGill
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    Albert Johnson, « Trappeur fou de la rivière Rat »

    Albert Johnson, aussi connu sous le nom du « trappeur fou », hors-la-loi (né autour de 1890-1900; mort le 7 février 1932 au Yukon). Le 31 décembre 1931, un trappeur vivant à l’ouest de Fort McPherson, dans les Territoires du Nord-Ouest, blesse grièvement par balle un agent de la GRC qui mène une enquête sur une plainte au sujet de lignes de piégeage. La chasse à l’homme qui s’ensuit, l’une des plus imposantes dans l’histoire canadienne, dure 48 jours et couvre 240 km dans des températures avoisinant les –40°C. Avant qu’elle ne soit terminée, un second agent est grièvement blessé et un autre, tué. Le tueur, provisoirement mais jamais formellement identifié comme étant Albert Johnson, est si doué pour la survie que la police doit retenir les services du pilote de brousse Wilfrid « Wop » May pour le traquer. L’extraordinaire fuite du trappeur en terrain subarctique, en plein hiver, capte l’attention du pays et vaut au hors-la-loi le surnom de « Trappeur fou de la rivière Rat ». Le motif des crimes d’Albert Johnson demeure inconnu, et son identité reste entourée d’une aura de mystère. Cet article traite de thématiques délicates qui peuvent ne pas convenir à tous les publics.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/AlbertJohnson/na-1258-114.jpg Albert Johnson, « Trappeur fou de la rivière Rat »
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    Sir William Johnson

    ​Sir William Johnson, marchand, commerçant de fourrures, fonctionnaire colonial (né vers 1715 à Smithtown, dans le comté de Meath, en Irlande; décédé le 11 juillet 1774 à Johnson Hall, près de Johnstown, dans l’État de New York).

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/813dff7d-8227-4201-9405-43db3b3e98c0.jpg Sir William Johnson
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    Joseph Lewis

    Joseph Lewis, aussi appelé Levi Johnston, Lewes et Louis, négociant de fourrures (né vers 1772–1773 à Manchester, dans le New Hampshire; mort en 1820 dans le district de Saskatchewan). Joseph Lewis était un négociant de fourrures noir, originaire des États-Unis, qui a participé aux débuts de l’expansion de l’industrie de la fourrure à la fin du 18e et au début du 19e siècles. Il est une des rares personnes noires engagées dans la traite des fourrures dont le nom est attesté dans les sources. Joseph Lewis est aussi le premier Noir à avoir vécu dans le territoire actuel de la Saskatchewan et, vraisemblablement, en Alberta.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/BlackFurTraders/Le_Code_Noir_1742_edition.jpg Joseph Lewis
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    La Salle, René-Robert Cavelier de

    René-Robert Cavelier de La Salle, aspirant jésuite, trafiquant de fourrures, explorateur, intrigant et découvreur du delta du Mississippi (Rouen, France, 21 nov. 1643 -- assassiné au Texas, 19 mars 1687).

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/719a5a9d-e031-496a-a4d4-2555d667b686.jpg La Salle, René-Robert Cavelier de
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    La Tour, Charles de Saint-Étienne de

    Charles de Saint-Étienne de La Tour, colonisateur, commerçant et gouverneur de l'Acadie (Champagne, France, 1593 -- Cap de Sable, Acadie, 1663). Arrivé en Acadie probablement dès 1606, La Tour y vit en permanence à partir de 1610.

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 La Tour, Charles de Saint-Étienne de
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    Jean-Baptiste Gaultier de La Vérendrye

    Jean-Baptiste Gaultier de La Vérendrye, commerçant de fourrures et explorateur, fils de Pierre Gaultier de Varennes et de la Vérendrye (né le 3 septembre 1713 sur l’île Dupas, au Québec; décédé le 6 juin 1736 au lac des Bois). En 1731, Jean-Baptiste est membre du premier groupe qui part vers l’Ouest sous le commandement de son père. En automne 1731, il termine la construction du fort Saint-Pierre, au lac à la Pluie. Son rôle dans la construction du Fort Maurepas en 1734 l’établit comme l’un des fondateurs de l’actuel Manitoba (voir aussiFrancophones du Manitoba.)

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/La Vérendrye/La_Vérendrye.jpg Jean-Baptiste Gaultier de La Vérendrye
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    Louis-Joseph Gaultier de La Vérendrye

    Louis-Joseph Gaultier de La Vérendrye, explorateur, cartographe, commerçant de fourrures et officier militaire (né le 9 novembre 1717 à l’Île aux Vaches, au Québec [Nouvelle-France]; décédé en mer au large de la côte du Cap-Breton le 15 novembre 1761). Connu sous son titre de Chevalier, le plus jeune des fils de Pierre Gaultier de Varennes et de la Vérendrye a dirigé la première exploration européenne au-delà de la rivière Missouri, dans les grandes plaines. Il sert la Nouvelle-France lors de la guerre de la Succession d’Autriche et de la guerre de Sept Ans.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/e79f20a3-2d9e-4d31-8ea5-54192e37171c.jpg Louis-Joseph Gaultier de La Vérendrye
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    Jean-Baptiste Lagimodière

    Jean-Baptiste Lagimodière, aussi épelé Lagemodière, Lagimonière et Lajimodière, commerçant de fourrures (Trois-Rivières, Qc, 26 déc. 1778 -- Saint-Boniface, Man., 7 sept. 1855). 

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/Lagimodieres.jpg Jean-Baptiste Lagimodière
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    Les femmes et la traite des fourrures

    En 1639, un Algonquin déclarait au jésuite missionnaire Paul Le Jeune : « Vivre parmi nous sans femme, c’est vivre sans aide et sans foyer et être condamné à une errance permanente. » S’il est vrai que l’importance d’avoir un foyer et une femme ne voulait peut‑être plus dire grand‑chose pour ce prêtre jésuite, itinérant et célibataire, pour de nombreuses Premières Nations, cette citation évoque les avantages sociaux, économiques et politiques du mariage, en particulier dans le contexte de la traite des fourrures. Les femmes autochtones fabriquent et raccommodent les vêtements, conservent les viandes, récoltent le sucre d’érable et des légumes racines comme les navets, piègent le petit gibier, attrapent les poissons avec des filets et cultivent le riz sauvage, toute une palette d’activités absolument essentielles pour la survie et la subsistance dans les forêts boréales, les terres boisées des prairies et les plaines nordiques où vivent les sociétés de la traite des fourrures. Les mariages entre les clans (voir Clan) permettent aux femmes des Premières Nations, dans le contexte d’un vaste monde autochtone interconnecté, de forger des lignées de parenté étendues, d’établir des obligations sociales et des liens réciproques et de négocier l’accès à des ressources communes et leur utilisation. Les mariages entre différents villages, différents clans et différentes Premières Nations façonnent la politique régionale, encouragent les alliances matrimoniales latérales et créent un réseau de parenté étendu géographiquement diversifié, sur l’ensemble du territoire des bassins versants des Grands Lacs et du Saint‑Laurent ainsi que de la baie d’Hudson et de la côte du Pacifique (voir L’océan Pacifique et le Canada).

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/WomenFurTrade/TrappersWifeCropped.jpg Les femmes et la traite des fourrures