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Musique belge au Canada
Belgique. L'apport de ce pays à la vie musicale canadienne est d'une grande importance, particulièrement dans le domaine de la musique instrumentale.
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Belgique. L'apport de ce pays à la vie musicale canadienne est d'une grande importance, particulièrement dans le domaine de la musique instrumentale.
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La chanson folklorique celtique est surtout d'origine pentatonique. L'échelle formée de cinq tons constitue la base des échelles formées de six tons (hexatonique) et de sept tons (heptatonique).
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La chanson et la musique ont toujours occupé une place importante dans la culture acadienne. L’enseignement musical est présent en Acadie depuis les années 1860 et les chorales rattachées à des écoles et collèges ont remporté de grands succès.
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Terre-NeuveLa musique folklorique de Terre-Neuve reflète un riche héritage culturel originaire des Îles britanniques, entretenu dans le Nouveau Monde pour arriver à constituer une tradition unique.
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Terre-Neuve possède un patrimoine particulièrement riche en ballades merveilleuses que l'on retrouve rarement ailleurs en Amérique du Nord.
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Galles (pays de). L'immigration de Gallois au Canada se produisit par cycles correspondant aux périodes de dépression économique survenues dans la mère patrie aux XIXe et XXe siècles.
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Le sens du terme « musique pop » a énormément évolué au fil des décennies. Les genres comme le blues, la musique country, le R&B, le rock'n' roll, le rock et le rap sont tous des succès commerciaux.
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Le rock 'n' roll et la musique rock émergent dans les années 1950 et 1950 de styles musicaux afro-américains (comme le jump blues, le rhythm and blues et le blues électrique) et de styles blancs (comme le swing, le swing western et la musique country).
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L’alimentation traditionnelle désigne le mode de nutrition traditionnel des Inuits, qui inclut des viandes de gibier, des oiseaux migrateurs, des poissons et des plantes sauvages. En plus de sa valeur nutritive, l’alimentation traditionnelle a une valeur culturelle et identitaire pour les Inuits. Elle permet aux communautés d’être autosuffisantes. Des changements environnementaux et socioéconomiques ont rendu les aliments traditionnels plus coûteux et plus difficiles à récolter, ce qui menace la sécurité alimentaire. Malgré ces difficultés, les Inuits, en collaboration avec différents paliers de gouvernement et des organismes sans but lucratif, continuent de travailler pour améliorer l’accès aux aliments traditionnels.
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Le Ô Canada est l’hymne national du Canada. Intitulé à l’origine « Chant national », il est écrit à Québec par sir Adolphe-Basile Routhier (paroles en français), mis en musique par Calixa Lavallée, et interprété pour la première fois dans cette même ville le 24 juin 1880. Dans un premier temps, à cette époque, le chant est beaucoup interprété au Canada français, puis il se répand à travers le Canada sous forme de différentes versions anglaises, dont la plus célèbre est celle écrite par Robert Stanley Weir en 1908. Les paroles de cette version sont modifiées à plusieurs reprises au fil des ans, la dernière fois en 2018. La version française a été écourtée, mais demeure inchangée pour le reste. Le Ô Canada est officiellement approuvé comme hymne national du Canada par un comité spécial mixte du Sénat et de la Chambre des communes le 15 mars 1967. Il est officiellement adopté par la Loi sur l’hymne national le 27 juin 1980. La Loi est proclamée par le gouverneur général Edward Shreyer lors d’une cérémonie publique sur la Colline du Parlement, le 1er juillet 1980.
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Une maison semi-souterraine est un type d’habitation historiquement utilisée par divers peuples autochtones vivant dans la région du Plateau du Canada. Construites partiellement dans le sol, les maisons semi-souterraines fournissaient chaleur et abri durant la saison hivernale. Bien que les maisons semi-souterraines ne servent plus d’habitations courantes, elles conservent une importance culturelle pour plusieurs peuples autochtones. On trouve des vestiges et des répliques de maisons semi-souterraines dans diverses parties du Canada. (Voir aussi Histoire de l’architecture des Autochtones au Canada.)
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Dans l’histoire, la planche porte-bébé a été utilisée par divers peuples autochtones pour protéger et transporter les bébés. Solidement attaché à une fine planche rectangulaire, un bébé pouvait être porté sur le dos de sa mère ou placé dans un endroit sûr pendant qu’elle se consacre à sa routine quotidienne. Dans certaines collectivités, les peuples autochtones utilisent encore des planches porte-bébé.
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Historiquement, les maisons de planches étaient des structures construites par divers peuples autochtones de la côte Nord-Ouest du Canada tels que les Salish de la côte, les Kwakwaka’wakw, les Nuu-chah-nulth, les Nuxalk, les Haïdas, les Tsimshians, les Gitxsans et les Nisga’a. Les maisons de planches variaient en taille et en conception, dépendamment de la communauté. Les maisons de planches existent toujours dans certaines communautés, et elles sont principalement utilisées à des fins communautaires et rituelles.
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Le 25 décembre 1921, une cérémonie de potlatch s’est déroulée dans le village kwakwa̱ka̱’wakw de ‘Mimkwamlis (également orthographié Memkumlis et aussi connu sous le nom Village Island). À l’époque, les cérémonies de potlatch étaient illégales. Des agents du ministère des Affaires indiennes du gouvernement fédéral (voir Ministères fédéraux des Affaires autochtones et du Nord), de la Gendarmerie royale du Canada et, selon certaines sources, de la police provinciale de la Colombie‑Britannique ont été informés de la tenue de ce potlatch et ont arrêté 45 personnes pour y avoir participé, la moitié d’entre elles ayant été emprisonnées pour des durées de deux à trois mois. Des centaines de précieux objets cérémoniels kwakwa̱ka̱’wakw ont été confisqués, certains ayant été vendus à des collectionneurs et s’étant retrouvés dans des musées, sans le consentement des Kwakwa̱ka̱’wakw. Les arrestations liées au potlatch de ‘Mimkwamlis de 1921 constituent un exemple des abus de la police et du gouvernement dont étaient victimes les Autochtones et illustrent la tentative de génocide culturel des peuples autochtones au Canada (voir Génocide et peuples autochtones au Canada).
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Selon la légende, Sheila Na Geira (également orthographiée NaGeira et Nagira) était une aristocrate ou princesse irlandaise qui, il y a 300 ou 400 ans, alors qu’elle voyageait entre la France et l’Irlande, a été capturée par un navire de guerre néerlandais, puis sauvée par des corsaires britanniques. Elle est tombée amoureuse et a épousé l’un des corsaires, le lieutenant Gilbert Pike. Ils se sont installés à l’ouest de la baie de la Conception. Au début du 20e siècle, la légende était racontée dans le cadre de la tradition orale de Terre-Neuve et a depuis été popularisée par des poèmes, des romans, des articles scientifiques et plusieurs pièces de théâtre.
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