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Affaire concernant la Loi 101

Le 26 juillet 1984, la Cour suprême du Canada déclare invalides les articles 72 et 73 de la Loi 101(Charte de la langue française du Québec), qui traitent de l'enseignement en langue anglaise dans les écoles au Québec, au motif que ces deux articles contreviennent à l'article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés. La constitutionnalité de la loi a surtout été contestée par plusieurs commissions scolaires protestantes. L'article 23...

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Affaire Cook (1998)

Dans, l'arrêt Cook (1998), la Cour suprême du Canada déclare que la Charte canadienne des droits et libertés s'applique lors de l'interrogatoire d'un suspect soupçonné d'avoir commis un meurtre au Canada par des policiers canadiens aux États-Unis.

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Affaire Cooper (1996)

Dans l'affaire Cooper, la Cour suprême du Canada statue, à la majorité, que la Commission canadienne des droits de la personne n'a pas le pouvoir de se prononcer sur la constitutionnalité d'une disposition de sa loi habilitante portant sur l'âge de la retraite obligatoire.

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Affaire Delgamuukw

L’affaire Delgamuukw (1997) (également connue sous le nom de Delgamuukw c. Colombie-Britannique) concerne la définition, le contenu et la portée du concept de titre de propriété autochtone (c.-à-d. la propriété des terres ancestrales). La Cour suprême du Canada observe alors que le titre autochtone constitue un droit ancestral protégé par l’article 35(1) de la Loi constitutionnelle de 1982. Sous l’influence de l’affaire Calder (1973), la décision rendue dans l’affaire Delgamuukw entraîne des répercussions importantes sur d’autres affaires judiciaires concernant les droits et les titres autochtones, y compris l’affaire Tsilhqot’in en 2014.

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Affaire Dionne

Dans l'affaire Dionne (1981), François Dionne, câblodistributeur, remet en question la compétence de la Régie des services publics du Québec en matière d'émission de permis de câblodistribution.

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Affaire Dupond

Affaire Dupond Dans une cause relative à la portée de la compétence provinciale en matière d'ordre public, la Cour suprême décide en 1978 que l'ordonnance de la Ville de Montréal interdisant la tenue d'assemblées, de défilés et d'attroupements pendant 30 jours est valide en raison du fait qu'il s'agit, comme dans le cause Hodge, d'un cas d'ordre public local, particulier à la province, et, par conséquent, autorisé par la Loi constitutionnelle de 1867 (art....

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Affaire Finta (1993)

Dans sa première décision rendue dans l'affaire Finta relativement à des crimes de guerre, la Cour suprême du Canada permet qu'interviennent trois groupes d'intérêt, soit la Ligue des droits de la personne de B'Nai 'Brith Canada, le Congrès juif canadien et InterAmicus.

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Affaire Ford (1988)

Dans l'affaire Ford, la Cour suprême du Canada déclare que les articles 58 et 69 de la Charte de la langue française (Loi 101), qui imposent l'exclusivité du français en matière d'affichage commercial et de raisons sociales, sont incompatibles avec l'alinéa 2b) de la Charte canadienne des droits et libertés et l'article 3 de la Charte québécoise des droits et libertés de la personne (Québec). La liberté d'expression comprend la liberté de choisir la...

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Affaire Généreux (1992)

Pour la toute première fois en 1985, la Cour suprême traite de l'indépendance judiciaire dans l'arrêt Valente. Elle aborde cette question pour la seconde fois dans l'arrêt Mackay qui traite de justice militaire.

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Affaire Godbout (1997)

Dans cette affaire, la Cour suprême du Canada conclut à l'unanimité que l'obligation de résider dans les limites de la municipalité imposée par la ville de Longueuil (près de Montréal) à tous ses employés permanents est inconstitutionnelle.

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Affaire Guy Paul Morin

L’affaire Guy Paul Morin a été le deuxième cas majeur de condamnation injustifiée de l’ère moderne du système de justice pénale canadien. L’affaire résulte d’une suite d’erreurs officielles, comme les déclarations inexactes de témoins, la vision étroite des policiers, le cafouillage scientifique et la suppression d’éléments de preuve. Guy Paul Morin avait été acquitté du meurtre de Christine Jessop, âgée de 9 ans, en 1986, pour être ensuite reconnu coupable lors d’un nouveau procès en 1992. Il a été innocenté par preuve ADN en 1995 et a reçu 1,25 million de dollars en compensation. En 2020, les preuves ADN ont identifié Calvin Hoover, un ami de la famille Jessop mort en 2015, comme le véritable tueur. Cet article traite de thématiques délicates qui peuvent ne pas convenir à tous les publics. 

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Affaire Hébert (1990)

Dans l'affaire Hébert, la Cour suprême du Canada se prononce directement sur le droit au silence. En l'espèce, Hébert est accusé de vol qualifié. Informé de son droit à l'avocat, il est incarcéré après la consultation.

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Affaire Hunter c. Southam

En 1984, dans l'affaire Hunter c. Southam Inc., un haut-fonctionnaire, agissant sous l'autorité de l'article 10 de la Loi relative aux enquêtes sur les coalitions, autorise plusieurs fonctionnaires à pénétrer dans les bureaux de Southam Inc., à Edmonton, pour saisir des documents.