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Trafiquant indépendant
Trafiquant indépendant (pedlar) est un terme méprisant employé au temps de la traite des fourrures par les hommes de la Compagnie de la Baie d'Hudson pour décrire tout marchand du Québec et, plus tard, tout marchand de la Compagnie du Nord-Ouest qui colporte ses biens aux Autochtones en les amenant jusqu'à leur campement.
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Tragédie de Polytechnique
Le 6 décembre 1989, un homme entre dans une classe de génie mécanique à l’École Polytechnique de Montréal, armé d’un fusil semi-automatique. Après avoir séparé les hommes des femmes, il ouvre le feu sur elles en criant : « Vous êtes toutes des féministes. » Il tue 14 jeunes femmes et blesse 13 autres personnes. Il retourne ensuite son arme contre lui. Dans sa note de suicide, il reproche aux féministes d’avoir ruiné sa vie. Sa note énumère 19 « féministes radicales » qu’il aurait tuées, écrit-il, s’il en avait eu le temps. Sur la liste se trouvent des femmes bien connues au Québec, dont des journalistes, des vedettes de la télévision, des syndicalistes.
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Tragédies maritimes
L’Histoire canadienne comporte son lot de tragédies nautiques, survenues tant le long de ses côtes que dans ses lacs d’eau douce.
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Trahison
La trahison est probablement l'infraction la plus ancienne et la plus grave dans les sociétés politiques, à la seule exception peut-être du meurtre. La première loi anglaise sur la trahison qui remonte à 1351 est le fondement de toutes les lois sur la trahison dans les pays anglophones.
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Trail of '98
Porteurs montant vers le sommet du col de Chilkoot, 1897-1898, en route pour la ruée vers l'or du Klondike (avec la permission des Biblioth\u00e8que et Archives Canada/C-5142). L'expression « Trail of '98 » fait référence à la piste Chilkoot et à d'autres pistes nordiques escaladées par les prospecteurs pendant la Ruée vers l'or du Klondike, qui atteint son apogée en 1898. Robert W. Service raconte l'histoire de ces prospecteurs dans son premier roman, The Trail...
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Train Turbo
Le Train Turbo de la United Aircraft Corporation (UAC) (connu au Canada sous le nom de Turbo CN ou Train Turbo VIA Rail) était l’un des premiers trains de voyageurs à grande vitesse ayant fonctionné au Canada de 1968 à 1982. Propulsé par un moteur à turbine à gaz, il pouvait atteindre une vitesse maximale de plus de 270 km/h, même si normalement il ne dépassait jamais les 150 km/h. Le Train Turbo fonctionnait sur la ligne Montréal‑ Toronto : dans des conditions optimales, il était censé mettre les deux villes à moins de quatre heures l’une de l’autre, même si le plus souvent le trajet prenait plutôt aux environs de quatre heures et demie. Destiné à révolutionner le voyage en train au Canada, le Train Turbo a souffert de problèmes techniques au cours de ses premières années de service et d’une baisse d’intérêt de la part des voyageurs.
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Traîneau à chiens
Le traîneau à chiens est une méthode inventée par les peuples autochtones du Nord pour se déplacer en hiver. Les premiers explorateurs et trappeurs européens l’ont adoptée, car elle constituait le moyen le plus efficace pour transporter des marchandises sur un terrain recouvert par la neige.
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Traité de Breda
Accords signés le 21 juillet 1667 à Breda, aux Pays-Bas, entre l'Angleterre et les Pays-Bas, et entre l'Angleterre et la France, mettant fin à la deuxième guerre anglo-néerlandaise. L'ancien traité reconnaissait la conquête anglaise de la Nouvelle-Amsterdam (New York) en 1664.
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Traités de Fort Stanwix (1768 et 1784)
Le premier traité de Fort Stanwix est signé en 1768 entre les Haudenosaunee (également connus sous le nom de Six Nations ou de Confédération iroquoise) et le surintendant britannique des Affaires indiennes du district Nord, sir William Johnson. Il s’agit du premier traité majeur à être négocié dans le cadre fixé par la Proclamation royale de 1763. Cinq ans après que la Proclamation a fixé la limite ouest de l’installation des colons dans les Appalaches, réservant l’immense région continentale nord‑américaine comme territoire autochtone, le Traité de Fort Stanwix repousse cette frontière occidentale jusqu’à la rivière Ohio, ouvrant ainsi de nouvelles terres aux colons blancs. Le deuxième traité de Fort Stanwix, signé en 1784, est une entente entre les Haudenosaunee et les États‑Unis, nouvellement indépendants. Il redessine les limites orientales du premier traité de Fort Stanwix, organisant la cession de territoires autochtones supplémentaires.
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Traité de Gand
Le Traité de Gand a été signé à Gand, en Belgique, la veille de Noël 1814 par la Grande-Bretagne et les États-Unis et met fin à la GUERRE de 1812.
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Traité de l’île Saint-Joseph (nº 11)
Le Traité de l’île Saint-Joseph de 1798 (également connu sous le nom de Traité no 11 dans le système de numérotation du Haut-Canada) était un accord foncier précoce entre les peuples autochtones et les autorités britanniques du Haut-Canada (maintenant l’Ontario). Il faisait partie d’une série de cessions de terres du Haut-Canada. Le Traité de l’île Saint-Joseph englobait l’ensemble de l’île Saint-Joseph, connue sous le nom de « Payentanassin » en langue anishinaabemowin. Cette île de 370 km2 est située à l’extrémité nord du lac Huron, dans le chenal entre les lacs Huron et Supérieur. Les Britanniques avaient besoin d’un poste dans la région pour protéger leurs intérêts et maintenir le contact avec les peuples autochtones de la région. Ils savaient également qu’ils devraient évacuer leur poste de Michilimackinac en vertu du traité de Jay et cherchaient donc un autre emplacement.
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Traité Jay
Le traité Jay a été signé le 19 novembre 1794 par les représentants du Royaume-Uni et des États-Unis. Il est le résultat de négociations commerciales et territoriales. Le traité est connu pour avoir permis aux peuples autochtones du Canada de vivre et de travailler librement aux États-Unis. Le gouvernement canadien ne reconnaît toutefois pas cette disposition mutuelle sur le plan légal.
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Traité de l’île Manitoulin de 1836
Le 9 août 1836, les Odawas et les Ojibwés ont signé le Traité de l’île Manitoulin. Ce traité est également appelé Traité no 45 ou Traité de Bond Head. En signant ce document, les Odawas et les Ojibwés ont accepté la demande de proposition de sir Francis Bond Head de « renoncer à vos droits sur ces îles et de considérer que ces dernières sont la propriété de tous les Indiens à qui votre Vénérable Père le Roi (sous le contrôle de qui elles seront placées) permettra de venir s’y établir ». Le Traité de l’île Manitoulin a formé une partie des efforts déployés par Bond Head pour ouvrir davantage de terres pour la colonisation. Une partie de ces efforts consistait à déplacer les peuples des Premières Nations du Haut-Canada vers l’île Manitoulin (voir aussi Premières Nations en Ontario). Cela sert également à expulser et isoler les peuples des Premières Nations. Bond Head soutenait que cela visait à tenir leur « civilisation » ou leur « extinction » loin des influences négatives des colons.
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Traité de l’île Manitoulin de 1862
Le Traité de l’île Manitoulin de 1862 a été signé le 6 octobre. Ce traité visait à ouvrir environ 23 000 îles de la chaîne de l’île Manitoulin pour la colonisation et l’extraction de ressources par les Canadiens d'origine européenne. Ce traité est également connu sous le nom de Traité McDougall ou Traité no 94. Ce document prévoyait la création de cinq réserves selon les termes du traité. Les habitants de la péninsule est de l’île Manitoulin ont refusé de participer au processus de traité. Ce refus a fait en sorte que les terres de Wiikwemkoong demeurent non cédées (voir Le territoire non cédé de Wiikwemkoong). Par conséquent, ces terres sont régies selon les termes du Traité Manitoulin de 1836.
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