Naviguer « Peuples autochtones »

Afficher 166-180 de 295 résultats
  • Article

    Margaret Pictou LaBillois

    Margaret Pictou LaBillois, C.M., O.N.-B., photographe de l’armée de l’air, femme d’affaires, chef mi’kmaq, aînée, défenseure de la langue et de la culture (née le 10 juillet 1923 dans la Première Nation d’Eel River Bar [aujourd’hui Ugpi'Ganjig] au Nouveau-Brunswick; décédée le 19 avril 2013 à Dalhousie au Nouveau-Brunswick.). L’aînée Margaret LaBillois a été la première femme chef élue au Nouveau-Brunswick. Après son service en temps de guerre, Margaret LaBillois est retournée à sa Première Nation, où elle a contribué à raviver l’intérêt pour la langue et l’artisanat traditionnel mi’kmaq, ainsi qu’à démarrer une entreprise coopérative familiale.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/MargaretPictouLaBillois/New_Brunswick_Micmac_Chief_45_Years_Ago_3024835508_resized.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/MargaretPictouLaBillois/New_Brunswick_Micmac_Chief_45_Years_Ago_3024835508_resized.jpg Margaret Pictou LaBillois
  • Article

    Marie-Anne Day Walker-Pelletier

    Marie‑Anne Day Walker‑Pelletier, C.M., chef (née le 15 avril 1954, à Regina, en Saskatchewan). Marie‑Anne Day Walker‑Pelletier est chef élue restée le plus longtemps en poste de l’histoire du Canada. Elle a été chef de la Première Nation Okanese, située près de Fort Qu’Appelle, en Saskatchewan, de 1981 à 2020. Au cours de sa longue carrière, elle a atteint de nombreux objectifs, notamment l’établissement de la structure, des instruments et des politiques de gouvernance pour la Première Nation Okanese. Elle a également participé à plusieurs projets liés au bien‑être, à la réforme sociale et à l’éducation, se concentrant principalement sur le soutien aux femmes et aux enfants vulnérables. Elle a été une ardente défenseure de la préservation de la langue, des traditions et des droits issus de traités de la Première Nation Okanese.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/MarieAnneDayWalkerPelletier/CanadaPostDayWalkerPelletier.png" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/MarieAnneDayWalkerPelletier/CanadaPostDayWalkerPelletier.png Marie-Anne Day Walker-Pelletier
  • Article

    Markoosie Patsauq

    Markoosie Patsauq, écrivain, pilote, leader communautaire inuit (né le 24 mai 1941 près d’Inukjuak [à l’époque Port Harrison], au Québec; mort le 8 mars 2020 à Inukjuak). La vie de Markoosie Patsauq a été marquée de façon dramatique par plusieurs des événements les plus significatifs qui ont affecté la population inuite du Canada au cours du 20e siècle. Après avoir survécu à des bouleversements et des traumatismes individuels et collectifs, il a été le premier Inuit et le premier Autochtone canadien à publier un roman. Uumajursiutik unaatuinnamut, ou Chasseur au harpon, a été publié en feuilleton en 1969-1970 en inuktitut puis en anglais à la fin des années 1970 et en français en 1971. La carrière d’écrivain de Markoosie Patsauq s’est étendue sur plusieurs décennies et comprend des œuvres de fiction et des essais sur des sujets allant de sa carrière de pilote à son expérience du colonialisme et de l’injustice. (Voir aussi Auteurs autochtones d’influence au Canada.)

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/MarkoosiePatsauq/MarkoosiePatsauq.JPG" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/MarkoosiePatsauq/MarkoosiePatsauq.JPG Markoosie Patsauq
  • Article

    L’affaire Marshall

    L’affaire Marshall a donné lieu à une décision judiciaire historique en matière de droits autochtones issus de traités au Canada. Son principal protagoniste est un Mi’kmaq de Membertou, en Nouvelle‑Écosse, nommé Donald Marshall fils. En août 1993, il pêche et vend, pendant des périodes de fermeture de la pêche, 210 kg d’anguilles, en utilisant un filet illégal et sans disposer du permis requis. Il est alors arrêté, après avoir été accusé en vertu de la Loi sur les pêches fédérale et du Règlement de pêche des provinces maritimes. Dans l’affaire R.c.Marshall, un tribunal provincial, puis la Cour d’appel, le reconnaissent coupable, respectivement en 1996 et en 1997, des trois chefs d’accusation portés contre lui. En septembre 1999, la Cour suprême du Canada annule ses condamnations. Elle fonde sa décision sur la reconnaissance des droits de chasse et de pêche promis dans les traités de paix et d’amitié. Ces traités avaient été signés entre les Britanniques, d’une part, et les Mi’kmaq, les Wolastoqiyik et les Peskotomuhkati, d’autre part, en 1760‑1761.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/0696b0d3-e259-4e89-8895-f6296d7ab589.JPG" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/0696b0d3-e259-4e89-8895-f6296d7ab589.JPG L’affaire Marshall
  • Article

    Mary Two-Axe Earley

    Mary Two-Axe Earley, aînée kanien’kehá:ka (mohawk), défenseure des droits des femmes et des enfants, militante des droits de la personne (née le 4 octobre 1911 sur la réserve Kahnawà:ke, au Québec; décédée le 21 août 1996 au même endroit). Mary Two-Axe Earley était une pionnière et une architecte du mouvement des femmes au Canada. Son activisme politique a contribué à la formation d’une coalition d’alliés ayant remis en question les lois canadiennes discriminantes à l’égard des femmes autochtones. La plus grande partie de son militantisme politique s’étale sur les trois dernières décennies de sa vie, et elle est particulièrement active dans les années 1960, 1970 et 1980.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/Twitter_Cards/Mary two-axe 1.png" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/Twitter_Cards/Mary two-axe 1.png Mary Two-Axe Earley
  • Article

    Affaire McIvor

    Le jugement McIvor c. Canada est rendu en réponse à la discrimination entre les sexes de l’article 6 de la Loi sur les Indiens de 1985 qui régit le statut d’Indien. Sharon McIvor, une femme qui a retrouvé son statut après l’adoption du projet de loi C-31 en1 985, ne pouvait pas transmettre son statut à sa descendance comme un homme le pourrait. Dans sa bataille contre le gouvernement fédéral, la Cour suprême de la Colombie-Britannique détermine en 2007 que l’article 6 contrevient aux droits à l’égalité de Sharon McIvor selon la Charte canadienne des droits et libertés. En réponse à ce jugement, le gouvernement fédéral dépose un nouveau projet de loi (C-3) en 2010 pour contrer la discrimination fondée sur le sexe de la Loi sur les Indiens.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/McIvorCase/McIvor.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/McIvorCase/McIvor.jpg Affaire McIvor
  • Article

    Médecine traditionnelle des Premières Nations au Canada

    Depuis des temps immémoriaux, les peuples autochtones au Canada utilisent des plantes et autres produits naturels comme remèdes. Les plantes médicinales sont davantage utilisées que les remèdes de source animale. En tout, les peuples autochtones ont identifié plus de 400 espèces de plantes (ainsi que des lichens, des champignons et des algues) propres à une utilisation médicinale. Les traditions médicinales (plantes utilisées, maladies soignées, méthodes de cueillette, d’utilisation et de préparation) sont similaires chez tous les peuples autochtones du pays. Dans beaucoup de communautés autochtones, on retrouve des spécialistes reconnus qui ont reçu une formation en médecine traditionnelle. Leur pratique reflète l’aspect spirituel autant que physique de la guérison. Dans beaucoup de cas, les propriétés thérapeutiques des remèdes autochtones tiennent à des composés spécifiques et à leur effet sur le corps, mais dans d’autres cas, leur application demeure inexpliquée par la médecine moderne. Au sein des communautés autochtones, les méthodes de cueillette et de préparation des remèdes sont considérées comme des propriétés intellectuelles personnelles ou familiales.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/IndigenousMedicine/3583204597_ecec140ac7_m.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/IndigenousMedicine/3583204597_ecec140ac7_m.jpg Médecine traditionnelle des Premières Nations au Canada
  • Article

    Médias des peuples autochtones

    Avant les années 60, seuls quelques périodiques étaient publiés à l'intention des lecteurs autochtones, la plupart, par des organisations missionnaires et gouvernementales non autochtones.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/e4cbee12-06ff-4b3a-b2ea-3bfd1df981e6.JPG" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/e4cbee12-06ff-4b3a-b2ea-3bfd1df981e6.JPG Médias des peuples autochtones
  • Article

    Métis

    Les Métis sont un peuple d’origine autochtone et européenne. Ils sont l’un des trois peuples autochtones reconnus du Canada. L’utilisation du terme « Métis » est à la fois complexe et sujette à controverse, et comporte différentes significations historiques et contemporaines. Le terme est employé pour décrire les communautés d’origine mixte européenne et autochtone partout au Canada, et pour désigner une communauté spécifique – définie comme la Nation métisse – (voir Les Métis sont un peuple, pas un processus historique et Les « autres » Métis). Bien que le gouvernement canadien marginalise politiquement les Métis après 1885, ceux-ci sont depuis reconnus comme un peuple autochtone disposant de droits inscrits dans la Constitution du Canada et plus clairement définis dans une série de décisions de la Cour suprême du Canada.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/254ae37e-4c7d-44d9-8b00-073d5d80a1b2.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/254ae37e-4c7d-44d9-8b00-073d5d80a1b2.jpg Métis
  • Article

    Histoire des établissements métis au Canada

    On trouve des communautés métisses dans de nombreuses provinces et nombreux territoires au Canada; toutefois, la seule assise territoriale métisse réglementée se trouve en Alberta. Huit établissements métis sont situés dans la partie nord et centre-est de la province : Paddle Prairie, Peavine, Gift Lake, East Prairie, Buffalo Lake, Kikino, Elizabeth et Fishing Lake. En date de 2021, les établissements couvrent 1,25 million d’acres de terres et ils sont le foyer d’environ 4238 personnes. En 2021, 3540 personnes ont déclaré être membres inscrits d’établissements métis en Alberta. Les établissements métis sont autonomes et ils assurent la protection de la culture et de l’identité métisses.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/MetisSettlementsFlag/Metis_Settlements_Flag.gif" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/MetisSettlementsFlag/Metis_Settlements_Flag.gif Histoire des établissements métis au Canada
  • Liste

    Militantes autochtones au Canada

    Un militant ou une militante est une personne qui ?uvre a susciter des changements d’ordre social ou politique. Plusieurs Autochtones au Canada ont ete des figures de proue de mouvements pour l’environnement, les droits des Autochtones et relatifs aux traites, un acces equitable a l’education et aux soins de sante, les droits des femmes et des enfants, et plus encore. Des femmes autochtones, notamment, ont defendu des causes touchant leur famille et leur communaute. Cet article traite de quelques militantes autochtones au Canada qui ont milite efficacement pour des causes importantes. (Voir aussi Questions relatives aux femmes autochtones au Canada.)

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/a28fc4c4-7840-4edc-ad7e-7bee27a74e64.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/a28fc4c4-7840-4edc-ad7e-7bee27a74e64.jpg Militantes autochtones au Canada
  • Article

    Kanyen’kehà:ka (Mohawk)

    Les Kanyen’kehà:ka ou Kanien’kehá:ka (« peuple des silex »), mieux connus sous le nom de Mohawks par les non-Kanyen’kehà:ka, sont un peuple autochtone d’Amérique du Nord. Parmi les membres de la Confédération Haudenosaunee, aussi connue sous l’appellation de « Confédération iroquoise » et de « Confédération des Six-Nations », ils sont situés le plus à l’est. Au début du 17e siècle, ils vivent sur les rives de la rivière Mohawk dans ce qui est aujourd’hui le nord de l’État de New York. Ils s’engagent activement dans le commerce des fourrures et les conflits coloniaux des deux siècles qui suivent. Plusieurs d’entre eux se réinstallent près du fleuve Saint-Laurent avant 1700. Après la Révolution américaine, le reste déménage au Canada pour vivre dans des territoires contrôlés par leur alliée, la Grande-Bretagne. Ici, les Mohawks prospèrent et acquièrent une réputation de militantisme en ce qui a trait au maintien de leur langue et de leur culture, et à la défense de leurs droits.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/6c0023ab-b0fd-42d7-84e8-3ee0b717d091.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/6c0023ab-b0fd-42d7-84e8-3ee0b717d091.jpg Kanyen’kehà:ka (Mohawk)
  • Article

    Mohawks de la vallée du Saint-Laurent

    À partir de la fin des années 1660, quelques centaines d'Iroquois, principalement de la nation mohawk, s'installent dans la région de Montréal. La plupart d'entre eux sont convertis au catholicisme ou sont en voie de l'être.

    "https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Mohawks de la vallée du Saint-Laurent
  • Article

    Mowachaht-Muchalaht

    Les Mowachaht et les Muchalaht sont des Premières Nations Nuu-chah-nulth qui ont fusionné officiellement dans les années 1950. Leur territoire comprend plusieurs zones de la côte ouest de l’île de Vancouver. En septembre 2018, leur population s’élevait à 613 membres enregistrés. Comme plusieurs autres nations du Conseil tribal des Nuu-chah-nulth, les Mowachaht-Muchalaht sont actuellement engagés dans la quatrième phase de la négociation d’un traité (qui en compte six) pour obtenir leur autonomie gouvernementale en Colombie-Britannique.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/7d6132f3-b886-4d9f-bd87-04918c8b3cd6.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/7d6132f3-b886-4d9f-bd87-04918c8b3cd6.jpg Mowachaht-Muchalaht
  • Archives du Projet Mémoire

    Claude Petit (source primaire)

    « Et tout à coup, hop je faisais partie de l’armée. Et je ne savais pas quoi dire. J’ai dit à ma grand-mère que je partais juste pour la journée, elle a dit que c’était d’accord. Et je reviens et j’avais une permission de sept jours. » Pour le témoignage complet de M. Petit, veuillez consulter en bas. Prenez note que les sources primaires du Projet Mémoire abordent des témoignages personnels qui reflètent les interprétations de l'orateur. Les témoignages ne reflètent pas nécessairement les opinions du Projet Mémoire ou de Historica Canada.

    "https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/MemoryProject/ClaudePetit/9542_original.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/MemoryProject/ClaudePetit/9542_original.jpg Claude Petit (source primaire)