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Relations des Jésuites
Les Relations des Jésuites représentent l’ensemble des rapports annuels envoyés en France entre 1632 et 1672, rédigés par les missionnaires jésuites au Canada. Ces écrits constituent une source historique importante sur l’ensemble des événements survenus dans la colonie pendant cette période. Ils précisent notamment le rôle central joué par les membres de la Compagnie de Jésus dans la colonisation de l’Amérique du Nord. (Voir Peuplement de la Nouvelle-France.) Ces publications sont révélatrices de la vision coloniale de l’époque et décrivent les succès et les échecs des missionnaires dans leurs efforts d’évangélisation des Premières Nations. Imprimées et distribuées à Paris, notamment à des fins de propagande, les Relations des Jésuites sont très populaires auprès des amateurs et amatrices de littérature de voyage. Elles constituent toujours aujourd’hui un ouvrage unique auquel se référer sur les premiers temps de la Nouvelle-France.
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Relations entre les Autochtones et les Britanniques avant la Confédération
À la fin de la guerre de Sept Ans, en 1763, la Grande-Bretagne remplace la France comme puissance coloniale dominante au Canada. Ce faisant, les Britanniques héritent aussi de l’état des relations entre les Autochtones et les Français. Au cours des quelques décennies qui suivent, les relations des Britanniques avec les Autochtones ne font que prolonger celles établies durant la période française. Des Grands Lacs à la Côte Est, les échanges commerciaux et les interactions militaires dominent alors les relations entre les Autochtones et les immigrants. Au 19e siècle, avec l’avancée des pionniers européens vers l’ouest, ces relations vont être modifiées par une forme différente d’association, basée sur des politiques axées sur l’assimilation et l’assujettissement, voire même la destruction. (Voir aussi Peuples autochtones et politique gouvernementale au Canada.)
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Macleans
Relatives Await Word on Vancouver's Missing Women
Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (25/03/2002)
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Religion de Handsome Lake
La religion de Handsome Lake est pratiquée par des communautés haudenosaunee au Canada et aux États-Unis. Ses membres se nomment « le peuple des maisons longues » parce que les cérémonies se déroulent dans une maison longue. Leurs croyances et pratiques amalgament d’anciennes traditions autochtones et les nouvelles notions introduites par le prophète sénéca, Handsome Lake, qui a prêché de 1799 jusqu’à sa mort en 1815.
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Religion et spiritualité des Autochtones au Canada
Très diverses, les religions des Premières nations, des Métis et des Inuits au Canada sont constituées d’un ensemble complexe de coutumes sociales et culturelles qui permettent d’entrer en contact avec le sacré et le surnaturel. Le christianisme, propagé par les colons, les missionnaires et les politiques gouvernementales, a profondément modifié la vie des Autochtones. Dans certaines communautés, des pratiques religieuses hybrides sont apparues alors que dans d’autres, la religion européenne a complètement remplacé les pratiques spirituelles traditionnelles. Bien que les administrateurs coloniaux et les missionnaires se soient efforcés de les supprimer, en particulier entre la fin du 19e siècle et le milieu du 20e siècle, les rites spirituels traditionnels ont été perpétués ou réintroduits par de nombreuses communautés autochtones contemporaines.
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Renouveau charismatique
Le mouvement chrétien du renouveau charismatique, dont les origines remontent aux années 50, dépasse les barrières confessionnelles.
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Répartition géographique de la culture Dorset
Vers l’an 800 avant notre ère (il y a environ 2 800 ans), les groupes paléo-inuits vivant dans l’est de l’Arctique nord-américain commencent à évoluer radicalement. Les nouveaux peuples ainsi formés, appelés « Dorset » par les archéologues, sont très différents de leurs ancêtres pré-Dorset. Les peuples Dorset évoluent dans l’Arctique jusqu’à il y a environ 600 ou 700 ans (vers 1300-1400 de notre ère). Ils semblent s’être éteints depuis ce moment. La disparition du peuple survient à peine quelques siècles après l’arrivée des premiers groupes inuits (Thulé), très différents des Dorset par leur génétique et leur culture. Les archéologues séparent l’existence des Dorset, étalée sur environ 2 000 ans, en trois périodes, ou traditions : le Dorsétien ancien (environ de l’an 800 avant notre ère à l’an 1 de notre ère), le Dorsétien moyen (environ de l’an 1 à l’an 500 de notre ère) et le Dorsétien récent (environ de l’an 500 à l’an 1400 de notre ère). Le débat reste ouvert quant aux différences et aux ressemblances entre ces périodes. Il est cependant convenu que ces périodes ont connu une évolution en matière de technologie, d’architecture résidentielle, de mobilité et de répartition géographique (voir aussi Culture Dorset).
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Réseau scolaire canadien (Rescol)
Rescol était un projet éducatif lancé en 1993 par les gouvernements provinciaux, fédéral et territorial ainsi que par des organisations à caractère éducatif et des partenaires du secteur privé. Il avait pour objectif de relier les écoles canadiennes et les bibliothèques par Internet, surtout celles des endroits éloignés, et de favoriser la création d'un site Web à contenu éducatif canadien en français et en anglais.
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Réserves au Nouveau-Brunswick
Le Nouveau-Brunswick compte 31 réserves détenues par 15 Premières Nations (voir aussi Premières Nations au Nouveau-Brunswick). Ces Premières Nations appartiennent à l’un des deux plus grands groupes culturels, soit les Micmacs (Mi’kmaq) ou les Wolastoqiyik (Malécites), qui font eux-mêmes partie de la Confédération Wabanaki. Les noms et les limites des réserves ont changé au fil du temps et certaines réserves n’existent plus ou ne sont pas reconnues par le gouvernement provincial. En 2021, on dénombre 16 985 Indiens inscrits au Nouveau‑Brunswick, dont environ 59 % vivent dans des réserves.
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Peuples autochtones et revendications particulières
Les revendications particulières découlent des griefs des Premières Nations au sujet des obligations de traités qui n’ont pas été remplies, ou de l’administration de terres et de biens autochtones en vertu de la Loi sur les Indiens. Les revendications particulières ont été traitées par de nombreux organismes depuis 1973. Le Tribunal des revendications particulières, un organisme judiciaire indépendant créé par le gouvernement fédéral en 2009, a le pouvoir de rendre des décisions finales et exécutoires.
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Revendications territoriales des Autochtones au Canada
Les revendications territoriales visent à réparer les torts causés aux peuples autochtones, à leurs droits et à leurs terres, par les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux. Il existe différents types de revendications territoriales. Les revendications globales (également connues sous le nom de traités modernes) portent sur les droits des Autochtones, tandis que les revendications spécifiques concernent les obligations non respectées du gouvernement en vertu des traités historiques ou de la loi sur les Indiens. De nombreuses négociations sur les revendications globales et spécifiques sont en cours au Canada.
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Richard Hunt
Richard Hunt, C.M., OBC, artiste (né en 1951 à Alert Bay en Colombie-Britannique). Richard Hunt est un artiste kwakwaka’wakw (Kwakiutl). Il est le fils du maître-sculpteur Henry Hunt de Thunderbird Park (en Colombie‑Britannique), et le frère des sculpteurs Tony Hunt et Stanley Hunt. Il est le petit‑fils du célèbre sculpteur kwakwaka’wakw Mungo Martin et l’arrière‑petit‑fils de l’ethnographe kwakwaka’wakw George Hunt.
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Richard Nerysoo
Richard W. Nerysoo, activiste, politicien, premier ministre des Territoires du Nord Ouest de 1984 à 1985 (né en 1953, près de Fort McPherson, aux Territoires du Nord-Ouest). En 1984, Richard Nerysoo devient le plus jeune premier ministre des Territoires du Nord-Ouest (ou « chef du gouvernement » avant 1994) et le premier Autochtone à occuper ce poste. Défendant avec acharnement les droits ancestraux des Autochtones dans les Territoires du Nord-Ouest, Richard Nerysoo participe à l’Enquête sur le pipeline de la vallée du Mackenzie et s’engage activement dans diverses organisations politiques autochtones, comme la Fraternité des Indiens des Territoires du Nord Ouest et le Conseil tribal des Gwich’in.
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Macleans
Richard Nielsen (Profile)
Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (10/06/2002)
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Richard Pierpoint
Richard Pierpoint (historiquement aussi connu sous les noms Pawpine, Parepoint, Captain Pierpoint, Captain Dick, Black Dick), loyaliste, soldat, responsable communautaire, conteur (né vers 1744 au Boundou [région située sur le territoire actuel du Sénégal]; décédé vers 1838, à proximité de la localité actuelle de Fergus, en Ontario). Richard Pierpoint a été l’un des premiers responsables de la communauté noire au Canada. Enlevé d’Afrique de l’Ouest alors qu’il était encore adolescent, puis vendu comme esclave, il a retrouvé sa liberté au cours de la Révolution américaine. Il s’est installé à Niagara au Haut‑Canada et a tenté d’organiser une vie en communauté avec les autres Canadiens d’origine africaine. Lors de la guerre de 1812, il a demandé au gouvernement la création d’une unité entièrement composée de Canadiens noirs pour se battre aux côtés des Britanniques, et a lui‑même combattu au sein du Coloured Corps.
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