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  • Article

    Premières Nations

    Les Premières Nations sont l’un des trois groupes de peuples autochtones au Canada, les deux autres étant les Métis et les Inuits. Contrairement aux Métis et aux Inuits, la plupart des Premières Nations possèdent des réserves. Cela dit, les membres des Premières Nations peuvent vivre aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de ces réserves. Le terme « Première Nation » peut désigner un vaste groupe ethnique (comme celui de la nation crie) mais, dans d’autres cas, il peut être synonyme du terme « bande ». Ce dernier a été choisi au départ par le gouvernement fédéral et est utilisé dans la Loi sur les Indiens. Le terme « bande » désigne des communautés plus petites. Beaucoup de Premières Nations préfèrent le terme « Première Nation » à celui de « bande ».

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/4bdede30-06f1-4f71-9047-c7db15051829.jpg Premières Nations
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    Sheila Na Geira

    Selon la légende, Sheila Na Geira (également orthographiée NaGeira et Nagira) était une aristocrate ou princesse irlandaise qui, il y a 300 ou 400 ans, alors qu’elle voyageait entre la France et l’Irlande, a été capturée par un navire de guerre néerlandais, puis sauvée par des corsaires britanniques. Elle est tombée amoureuse et a épousé l’un des corsaires, le lieutenant Gilbert Pike. Ils se sont installés à l’ouest de la baie de la Conception. Au début du 20e siècle, la légende était racontée dans le cadre de la tradition orale de Terre-Neuve et a depuis été popularisée par des poèmes, des romans, des articles scientifiques et plusieurs pièces de théâtre.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/dreamstime_resize_33120989-2.jpg Sheila Na Geira
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    Programme des foyers familiaux indiens au Canada

    Le Programme des foyers familiaux indiens, en vigueur du début des années 1950 au début des années 1990 a été créé par le gouvernement fédéral canadien. Il avait pour but de placer les enfants autochtones dans des foyers non autochtones pendant qu’ils fréquentaient l’école primaire et l’école secondaire, souvent loin de leur collectivité d’origine. Le placement était obligatoire, le refus n’était pas autorisé. Les familles d’accueil dans lesquelles les enfants étaient placés étaient payées pour en prendre soin. Plusieurs de ces enfants ont été victimes de violence physique, sexuelle, verbale et psychologique (voir aussi Enfants maltraités). Le programme visait à assimiler les enfants autochtones à la société canadienne dominante. Par conséquent, il était souvent interdit aux enfants de parler leur langue maternelle ou de s’adonner à des pratiques de leur culture. Cela a inévitablement entrainé de graves conséquences, notamment la perte de l’identité culturelle et du lien avec leur collectivité pour les quelque 40 000 enfants inuits et des Premières Nations qui ont été contraints de déménager.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/TCE_placeholder.png Programme des foyers familiaux indiens au Canada
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    Prohibition au Canada

    La prohibition au Canada a été le résultat du mouvement de tempérance. Ce mouvement faisait appel à la modération ou à l’abstinence totale d’alcool, il était basé sur la conviction que l’alcool était responsable de nombreux maux de la société. La Loi de tempérance du Canada (Scott Act) de 1878 a offert aux gouvernements municipaux « l’option locale » de bannir la vente d’alcool. La prohibition a été adoptée pour la première fois sur une base locale à l’Île-du-Prince-Édouard en 1901. Elle est devenue une loi dans les autres provinces, ainsi qu’au Yukon et à Terre-Neuve durant la Première Guerre mondiale. L’alcool pouvait être légalement produit au Canada (mais ne pouvait y être vendu) et exporté de manière légale à partir des ports canadiens. La plupart des lois provinciales ont été abrogées dans les années 1920. L’Île-du-Prince-Édouard a été la dernière à abandonner la « noble expérience » en 1948.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/c0f20001-e566-4ebf-9c88-f1a5ae278291.jpg Prohibition au Canada
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    Prostitution

    La prostitution est la pratique qui consiste à échanger de l’argent contre des services sexuels. La prostitution n’a jamais été un crime en soi au Canada. Toutefois, les activités qui l’entourent, comme communiquer à propos de l’échange, sont illégales.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/7ac02b0f-118b-4ccb-b6dc-81f218b68954.jpg Prostitution
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    Protestantisme

    Lorsqu'une majorité catholique soigneusement arrangée rejette certaines réformes à la diète de Spire (Allemagne) en 1529, la minorité défaite reçoit le nom de « protestants », dérivé d'un mot latin qui veut dire « témoigner en faveur de quelque chose ».

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    Province du Canada, 1841-1867

    En 1841, la Grande-Bretagne a uni les colonies du Haut et du Bas-Canada en une seule province, la province du Canada. Cette union est faite en réponse aux rébellions violentes de 1837-1838. Le rapport Durham (1839) recommande les lignes directrices pour la création de la nouvelle colonie avec l’Acte d’Union. La province du Canada est composée du Canada-Ouest (anciennement le Haut-Canada) et du Canada-Est (anciennement le Bas-Canada). Les deux régions sont gouvernées conjointement jusqu’à ce que la province soit dissoute pour faire place à la Confédération en 1867. Le Canada-Ouest devient alors l’Ontario et le Canada-Est devient le Québec. La Province du Canada a été une expérience de 26 ans de coopération politique entre anglophones et francophones. Pendant cette période, un gouvernement responsable est né en Amérique du Nord britannique. En outre, l’expansion de l’échange et du commerce ont fourni de la richesse à la région, ce qui a permis la montée de chefs politiques tels que sir John A. Macdonald, sir George-Étienne Cartier et George Brown d’émerger et la mise sur pied de la Confédération. (Ce texte est l’article complet sur la Province du Canada. Si vous souhaitez en lire unrésumé en termes simples, veuillez consulter : Province du Canada (résumé en termes simples).)

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/dcae055f-192e-4de7-b004-4a70146eca56.jpg Province du Canada, 1841-1867
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    Purges dans le service public canadien pendant la guerre froide : le cas des personnes 2SLGBTQ+

    Entre les années 1950 et 1990, le gouvernement canadien a répondu aux préoccupations en matière de sécurité nationale dues aux tensions avec l’Union soviétique durant la Guerre froide en espionnant et en dénonçant les personnes suspectées d’appartenir à la communauté 2SLGBTQ+ et en les éliminant de la fonction publique fédérale. Ces personnes ont été qualifiées de subversives sur les plans social et politique et ont été considérées comme les cibles potentielles d’un chantage que pourraient exercer les régimes communistes pour obtenir des renseignements classifiés. Ces caractérisations ont été justifiées par des arguments selon lesquels les personnes entretenant des relations amoureuses avec des personnes du même sexe souffraient d’une « faiblesse de caractère » et avaient nécessairement quelque chose à cacher en raison de leur orientation sexuelle, celle-ci étant non seulement considérée comme étant un tabou, mais également comme étant illégale dans certains cas. En conséquence, la GRC a mené des enquêtes sur un large nombre de personnes. Plusieurs d’entre elles ont été licenciées, rétrogradées ou forcées de démissionner, même si elles n’avaient aucun accès à des renseignements de sécurité. Ces mesures n’ont pas été rendues publiques afin de prévenir les scandales et de garder le secret sur les opérations de contre‑espionnage. En 2017, le gouvernement fédéral a présenté des excuses officielles pour ses actions et politiques discriminatoires, ainsi qu’un plan de mesures d’indemnisation de 145 millions de dollars.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/24561e5f-6a40-423a-aae3-8324fa0b339e.jpg Purges dans le service public canadien pendant la guerre froide : le cas des personnes 2SLGBTQ+
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    Purges dans les Forces armées canadiennes pendant la Guerre froide : le cas des personnes 2SLGBTQ+

    Pendant une grande partie de son histoire, l’armée canadienne a appliqué une politique de punition ou de purge des personnes 2SLGBTQ+ dans ses rangs. Durant la Guerre froide, l’armée a intensifié ses efforts pour identifier et retirer les militaires présumés 2SLGBTQ+ en raison de préoccupations exprimées concernant le chantage et la sécurité nationale. En 1992, une contestation judiciaire a mené à l’annulation de ces pratiques discriminatoires. Le gouvernement fédéral a présenté officiellement ses excuses en 2017.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/MichelleDouglas2Image for guide.jpg Purges dans les Forces armées canadiennes pendant la Guerre froide : le cas des personnes 2SLGBTQ+
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    Anglo-Québécois

    Les Anglo-Québécois (communautés québécoises d’expression anglaise) sont une minorité linguistique comprenant des gens de diverses origines ethniques, religieuses et socio-économiques. Ces communautés présentent aussi d’importantes particularités régionales. La présence d’anglophones sur le territoire actuel du Québecremonte au Régime français, mais des communautés ne se développent véritablement qu’après laConquêtebritannique. La proportion d’anglophones augmente dans les années avant la Confédération, puis décline graduellement, particulièrement dans les régions à l’extérieur deMontréal.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/0dff2beb-2eb0-417d-85cf-2760a0f94e09.jpg Anglo-Québécois
  • Article

    Racisme

    Le racisme est une croyance selon laquelle les humains peuvent être divisés suivant une hiérarchie du pouvoir en fonction de leurs différences de race et d’ethnicité. Ainsi, certains groupes sont vus comme supérieurs à d’autres uniquement en raison de caractéristiques raciales ou ethniques. Le racisme est souvent exprimé sous forme de préjugés ou de discrimination. Cette croyance peut être manifestée par des individus, mais aussi par des sociétés ou des institutions.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/eb6ec132-1f25-4df9-b54d-d101ef2e4e7e.jpg Racisme
  • Article

    Racisme environnemental au Canada

    Le racisme environnemental fait référence à la proximité disproportionnée et l’exposition accrue des communautés autochtones, noires et autres minorités raciales aux industries polluantes et aux activités dangereuses pour l’environnement. Au Canada, les communautés autochtones et d’origine africaine de Nouvelle-Écosse ont été les plus touchées par ce type de racisme. Quelques exemples de racisme environnemental en Nouvelle-Écosse : une décharge à ciel ouvert à Africville, des sites d’enfouissement à Shelburne et Lincolnville, une usine de pâtes et papiers dans la Première Nation de Pictou Landing et un pipeline qui traverse le territoire de la Première Nation Sipekne’katik. Un pipeline traverse également la Première Nation Wet’suwet’en en Colombie-Britannique, tandis qu’en Ontario, la Première Nation de Grassy Narrows est contaminée au mercure et plus de 60 installations pétrochimiques entourent la Première Nation Aamjiwnaang.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/EnvironmentalRacisminCanada/ChemicalValley.jpg Racisme environnemental au Canada
  • Article

    Racisme environnemental au Canada (Résumé en langage simple)

    On parle de racisme environnemental lorsque les industries polluantes et les activités dangereuses pour l’environnement sont principalement situées près de communautés à faibles revenus ou minoritaires. Au Canada, le racisme environnemental touche davantage les communautés autochtones et noires. Cet article contient des exemples de racisme environnemental en Nouvelle-Écosse, en Ontario et en Colombie-Britannique. Cet article est un résumé en langage simple sur le racisme environnemental au Canada. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, intitulé, Racisme environnemental au Canada.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/new_article_images/EnvironmentalRacisminCanada/ChemicalValley.jpg Racisme environnemental au Canada (Résumé en langage simple)
  • Macleans

    RCMP Drug Operation Claims Lives

    Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (31/03/1997)

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    https://development.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 RCMP Drug Operation Claims Lives
  • Article

    Résistance de la rivière Rouge

    La Résistance de la rivière Rouge (aussi appelée Rébellion de la rivière Rouge) est un soulèvement violent ayant eu lieu de 1869 à 1870 dans la colonie de la rivière Rouge. Elle est déclenchée par le transfert du vaste territoire appelé « Terre de Rupert » au nouveau Dominion du Canada. La colonie, composée de fermiers et de chasseurs, dont la plupart sont Métis, occupe un coin de la Terre de Rupert et craint l’effet du contrôle canadien sur sa culture et ses droits fonciers. Les Métis fomentent une résistance et forment un gouvernement provisoire afin de négocier les conditions d’entrée du territoire dans la Confédération. La résistance mène à la création de la province du Manitoba et à l’émergence du chef métis Louis Riel. Héros aux yeux de son peuple et de nombreux Québécois, il est toutefois considéré comme un hors-la-loi par le gouvernement fédéral.

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    https://d2ttikhf7xbzbs.cloudfront.net/media/media/f0a1f84f-c420-4038-8815-42587e295b75.jpg Résistance de la rivière Rouge