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Olivier Le Jeune
Nous ne connaîtrons peut-être jamais le nombre exact de navires britanniques ayant transporté des esclaves du continent africain vers le Nouveau Monde (voir Esclavage des Noirs au Canada). La première mention d’esclaves noirs africains en Nouvelle-France concerne toutefois la vente d’un garçon originaire ou bien de Madagascar, ou bien de Guinée. En 1629, l’enfant d’environ six ans est amené en Nouvelle-France à bord d’un navire britannique comme esclave de sir David Kirke, commerçant et corsaire à la solde de Charles Ier, roi d’Angleterre. Il est ensuite vendu à un commis français nommé Olivier Le Baillif, puis remis à Guillaume Couillard. En 1633, le garçon est baptisé et reçoit le nom d’Olivier Le Jeune. Il restera en Nouvelle-France tout au long de sa vie jusqu'à sa mort le 10 mai 1654.
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Onderdonk, Andrew
Andrew Onderdonk, entrepreneur (New York, vers 1849 -- Oscawana, New York, 21 juin 1905).
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Orphelins de Duplessis
Les orphelins de Duplessis sont un groupe d’enfants placés, entre 1935 et 1964, dans des crèches, orphelinats et hôpitaux psychiatriques, où plusieurs ont été maltraités ou abusés. Un nombre important d’entre eux reçoivent de faux diagnostics de handicaps mentaux, afin que les institutions qui les hébergent reçoivent des subventions réservées aux établissements psychiatriques. Cette pratique a lieu principalement sous le premier ministre Maurice Duplessis, dont le nom est donc repris pour désigner ces enfants. Après plusieurs années de combats juridiques et de pressions politiques, la plupart des orphelins de Duplessis obtiennent une forme de dédommagement de la part de l’État québécois. Cet article traite de thématiques délicates comme l’abus physique et sexuel qui peuvent ne pas convenir à tous les publics.
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Ounanguissé
Ounanguissé (« lumière chatoyante du soleil », aussi orthographié Onangizes, Onanguisset ou Onanguicé) était wkama (chef) des Potéouatamis vers 1660-1701. Il est une importante figure des alliances entre les Français et les peuples autochtones de la région des Grands Lacs durant la fin du 17e et le début du 18e siècle. Il est surtout connu pour le discours qu’il a tenu au sujet de cette alliance, au cours d’une réunion avec le gouverneur général de Nouvelle-France, Louis de Buade de Frontenac, en 1697. Il a aussi apporté une importante contribution à la négociation de la Grande Paix de Montréal en 1701.
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Overlanders de 1862
Les Overlanders de 1862 sont un groupe de colons, partis du fort Garry, la future Winnipeg, au Manitoba, vers les terres intérieures de la Colombie‑Britannique, dans la foulée de la ruée vers l’or de Cariboo. Ce groupe a à sa tête Thomas McMicking, du canton de Stamford, dans le comté de Welland, au Canada‑Ouest (l’Ontario d’aujourd’hui).
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Family Compact
L’expression « Family Compact » est un surnom injurieux. Il est utilisé pour désigner le réseau d’hommes qui détenaient les leviers des pouvoirs législatif, administratif, économique, juridique et religieux au Haut-Canada (aujourd’hui l’Ontario) pendant la première moitié du 19e siècle. Les membres du Family Compact avaient généralement des opinions conservatrices et loyalistes. Ils s’opposaient ouvertement aux réformes démocratiques et au gouvernement responsable. Au milieu du 19e siècle, l’immigration, l’union du Haut-Canada et du Bas-Canada, de même que le travail de différents réformistes ont affaibli l’hégémonie du groupe. Au Bas-Canada, la clique du Château était l’équivalent du Family Compact.
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Palliser, Hugh
Hugh Palliser, officier de marine et gouverneur de Terre-Neuve (Kirk Deighton, Angl., 26 févr. 1722/23 -- Chalfont St. Giles, Angl., 19 mars 1796). Il est officier de marine au siège de Québec en 1759, et est nommé gouverneur de Terre-Neuve en 1764.
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Peter Bostonais Pangman
Peter (ou Pierre) Bostonais Pangman, chef métis, chasseur de bison (né le 20 octobre 1791 dans la région de la vallée de la rivière Saskatchewan Nord, aujourd’hui en Alberta; décédé le 4 mars 1850 à St. François Xavier, aujourd’hui au Manitoba). Peter Bostonais Pangman est un habile chasseur qui aide à approvisionner en viande de bison la colonie de la rivière Rouge. Il joue un rôle actif dans les guerres du pemmican et les événements entourant la bataille de la Grenouillère. Dans le cadre de la traite des fourrures à Pembina, Peter Bostonais Pangman est un personnage central qui rallie et inspire les Métis de la vallée de la rivière Rouge à se percevoir et à s’exprimer avec une identité distincte des peuples autochtones voisins. Le nom Bostonais s’écrit aussi Bastonnais et Bostonnais.
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Irene Parlby
Mary Irene Parlby (née Marryat), députée provinciale de l’Alberta (1921-1935), défenseure des droits des femmes et activiste (née le 9 janvier 1868 à Londres, au Royaume-Uni; décédée le 12 juillet 1965 à Red Deer, en Alberta). Irene Parlby a été membre de l’Assemblée législative de l’Alberta pendant 14 ans. Elle a été la première femme de l’Alberta à être nommée à un poste de Cabinet, et la seconde dans tout l’Empire britannique. Faisant partie des « Cinq femmes célèbres » appelantes dans l’affaire « personne », Irene Parlby était une ardente défenseure des droits des femmes. Elle était connue sous le surnom « ministre des femmes », et sa carrière de militante et de législatrice a été consacrée à améliorer la qualité de vie des femmes rurales et des enfants, notamment avec la Dower Act de l’Alberta de 1917. Elle a également été déléguée à la Société des Nations en 1930. Cependant, elle a été critiquée pour ses opinions sur l’eugénisme et pour son soutien envers la Sexual Sterilization Act de l’Alberta. Elle a été nommée personne d’importance historique nationale en 1966, et sénatrice honoraire en 2009.
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Parsons, Robert John
Robert John Parsons, journaliste et homme politique (Harbour Grace, T.-N., v. 1802 -- St. John's, 20 juin 1883). En 1833, avec William Carson et d'autres libéraux de Terre-Neuve, il fonde l'hebdomadaire Newfoundland Patriot et en devient le propriétaire et le rédacteur en chef en 1840.
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Patriotes
Nom donné à partir de 1827 au PARTI CANADIEN et au mouvement populaire qui aboutit aux RÉBELLIONS DE 1837 et de 1838. Ce parti, dirigé surtout par des membres des professions libérales et par des petits commerçants, trouve un large appui chez les agriculteurs, les journaliers et les artisans.
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Walter Patterson
Walter Patterson, officier militaire, propriétaire foncier, premier gouverneur britannique de l’Île Saint-Jean (Île-du-Prince-Édouard), (né vers 1735 près de Rathmelton, comté de Donegal, Irlande; mort le 6 septembre 1798 à Londres, Angleterre). Walter Patterson a servi dans l’armée britannique durant la guerre de Sept Ans. En 1770, il a été assermenté en tant que premier gouverneur britannique de l’île Saint-Jean (renommée Île-du-Prince-Édouard en 1799). Son mandat de gouverneur a été marqué par la spéculation foncière et les troubles politiques.
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Pauline Johnson (Tekahionwake)
Emily Pauline Johnson (ou Tekahionwake, « double wampum »), poétesse, écrivaine, artiste et interprète (née le 10 mars 1861 dans la réserve des Six Nations, au Canada-Ouest; décédée le 7 mars 1913 à Vancouver, en Colombie-Britannique). Pauline Johnson compte parmi les artistes nord-américains les plus remarquables de la fin du 19e siècle. Cette écrivaine douée et oratrice éloquente d’origine mohawk et européenne poursuit de nombreuses tournées et captive les auditoires par son immense talent pour l’art dramatique. Pauline Johnson contribue largement aux cultures autochtone et canadienne, à l’oral comme à l’écrit. Elle s’inscrit au rang des personnes d’importance historique nationale et la maison où elle a grandi est aujourd’hui un musée et un lieu historique national. Dans le parc Stanley à Vancouver, un monument rend hommage à ses ouvrages et au patrimoine qu’ils représentent. En 2016, Pauline Johnson figure parmi les 12 Canadiennes retenues à l’un des stades de la sélection du personnage emblématique féminin à mettre en vedette sur un billet de banque (voir Les femmes sur les billets de banque canadiens).
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Pensionnats indiens au Canada (résumé en langage simple)
Au début des années 1600, les religieuses et prêtres catholiques établissent les premiers pensionnats indiens au Canada (voir aussi Indien). En 1883, ces institutions commencent à recevoir du financement de la part du gouvernement fédéral. Cette même année, le gouvernement du Canada autorise officiellement la création du système des pensionnats indiens. L’objectif principal de ce système est d’assimiler les enfants autochtones à la société chrétienne blanche. (Voir aussi Les expériences des Inuits dans les pensionnats indiens et Les expériences des Métis dans les pensionnats indiens.) (Cet article est un résumé en langage simple de l’histoire des pensionnats indiens. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, Pensionnats indiens au Canada)
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