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Peacekeepers Leave East Timor (en anglais seulement)
Cet article provient du magazine Maclean’s. Il est uniquement disponible en anglais.Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (20/03/2000)
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Cet article provient du magazine Maclean’s. Il est uniquement disponible en anglais.Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (20/03/2000)
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Rebaptisée base des Forces canadiennes Petawawa en 1966, elle a une population totale de 5000 personnes. Son budget annuel dépasse les 100 millions de dollars, ce qui la rend économiquement importante pour PEMBROKE et les régions environnantes.
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Article
Politique de défense Le Canada, selon C.P. Stacey, forme une « communauté non militarisée ». Cela n'a rien de fortuit. Les Canadiens n'ont jamais eu à payer le prix d'un manque de préparation. Les FORTIFICATIONS, édifiées à grands frais par les Français ou les Britanniques, attirent des hordes de touristes et servent de monuments à la folie humaine. Des capitaux qui auraient pu être dilapidés à des fins militaires ont pu servir au financement de la construction du...
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Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est une maladie mentale qui affecte les personnes qui ont été exposées à un traumatisme (toutes les personnes exposées à un traumatisme ne développent cependant pas nécessairement le TSPT). Des études ont montré que plus de 70 % des Canadiens ont été exposés à au moins un événement traumatique au cours de leur vie. On estime qu’au Canada, une personne sur dix pourrait être atteinte de TSPT à un moment de sa vie. Le TSPT peut toucher aussi bien les adultes que les enfants et peut survenir des mois ou même des années après l’exposition au traumatisme.
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Article
La Première Armée canadienne est une armée de campagne formée en 1942, pendant la Deuxième Guerre mondiale . Elle devient une force internationale en 1943, lorsque des unités alliées y sont intégrées pour maintenir ses effectifs. La Première Armée canadienne est commandée par A.G.L. McNaughton et H.D.G. « Harry » Crerar.
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Article
La Première Guerre mondiale de 1914-1918 a été le conflit le plus sanglant de l’histoire du Canada, coûtant la vie à plus de 61 000 Canadiens. Elle a effacé la vision romantique de la guerre, introduit le massacre à grande échelle et instillé une crainte de l’engagement militaire qui s’est poursuivie jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale. Cependant, les grands accomplissements des soldats canadiens sur des champs de bataille comme Ypres, Vimy et Passchendaele ont insufflé un sentiment de fierté nationale et l’idée que le Canada pouvait prendre sa place sur la scène internationale, indépendamment de l’Empire britannique. La guerre a aussi approfondi les divisions entre le Canada anglais et le Canada français, et marqué le début des grandes interventions de l’État dans la société et l’économie.
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Le Princess Patricia’s Canadian Light Infantry (PPCLI, communément appelé les Patricias) est l’un des trois régiments d’infanterie permanents de la Force régulière de l’Armée canadienne. Sa structure actuelle est composée de trois bataillons et d’un bataillon de réserve, comptant un total de 2000 soldats logés dans des bases situées à Edmonton, en Alberta, et à Shilo, au Manitoba. Le régiment a une fière tradition de service qui remonte à sa création, lors de la Première Guerre mondiale.
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Princess Patricia's Canadian Light Infantry Band. Musique constituée en 1919 sous la direction du capitaine Thomas William James et basée à Winnipeg de 1920 à 1939.
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Chaque année, on décerne les prix Nobel pour souligner les réalisations ayant rendu de grands services à l’humanité. Les prix sont parmi les plus hautes distinctions internationales, et sont remis dans six catégories : physique, chimie, physiologie ou médecine, littérature, paix et économie. C’est la fondation Nobel qui administre les prix, tandis que les prix eux-mêmes sont remis par des institutions suédoises et norvégiennes. Dix-huit Canadiens ont remporté des prix Nobel, sans compter les Canadiens de naissance qui ont abandonné leur citoyenneté et les membres d’organisations lauréates du prix Nobel de la paix.
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Le roi George III promulgue la Proclamation royale de 1763 le 7 octobre 1763 pour jeter les bases d’une administration gouvernementale dans les territoires nord-américains cédés par la France à la Grande-Bretagne par le Traité de Paris (1763) à l’issue de la guerre de Sept Ans. Cette proclamation établit des politiques visant à assimiler la population française au règne britannique. Ces politiques se révèlent infructueuses et sont remplacées par l’Acte de Québec de 1774 (voir aussi Conquête de la Nouvelle-France). La Proclamation royale établit aussi le cadre constitutionnel qui régit la négociation de traités avec les populations autochtones de vastes régions du Canada, et est mentionnée à l’article 25 de la Loi constitutionnelle de 1982. C’est pourquoi elle a été appelée la « grande charte autochtone » ou la « charte des droits des Autochtones ». Ce document est aussi important, car il contribue à la Révolution américaine en 1775. Il désigne aussi une grande partie de la région intérieure ouest des Appalaches de l’Amérique du Nord comme réserve autochtone, ce qui met les peuples des treize colonies en colère, plusieurs d’entre elles voulant s’étendre vers l’ouest.
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En 1939, le Canada, la Grande-Bretagne, la Nouvelle-Zélande et l’Australie ont signé un accord créant le Programme d’entraînement aérien du Commonwealth britannique (PEACB). Situé au Canada, le mandat du programme était de former les équipages aériens alliés en préparation de la Deuxième Guerre mondiale, incluant les pilotes, les navigateurs, les bombardiers aériens, les radiotélégraphistes, les mitrailleurs aériens et les mécaniciens de bord. Plus de 130 000 hommes et femmes d’équipages ont été formés entre 1939 et 1945, faisant de ce programme l’une des plus grandes contributions du Canada à la victoire des Alliés dans cette guerre. Ceci a mené le président des États-Unis Franklin Roosevelt à surnommer le Canada « l’aérodrome de la démocratie ».
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Article
L'organisme Project Ploughshares est lancé en 1976 pour entreprendre des recherches sur le militarisme et le sous-développement.
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Article
En relations internationales, une moyenne puissance désigne un État qui exerce moins d’influence sur la scène mondiale qu’une superpuissance. Comme le terme le laisse entendre, les moyennes puissances se placent au centre de l’échelle mesurant l’influence internationale d’un pays. Tandis que les superpuissances exercent une grande influence sur les autres pays et les événements internationaux, les moyennes puissances exercent une influence modérée. Le Canada était considéré comme une puissance moyenne dans l’après-guerre, de 1945 jusqu’à environ 1960. Il n’était pas aussi puissant et ne jouait pas un rôle aussi central que les États-Unis ou le Royaume-Uni à cette époque. Néanmoins, il était un acteur international qui influençait les événements par son autorité morale, sa participation aux opérations de maintien de la paix et sa médiation de conflits.
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Entre les années 1950 et 1990, le gouvernement canadien réagit aux inquiétudes en matière de sécurité nationale générées par les tensions avec l’Union soviétique durant la Guerre froide en espionnant et en dénonçant les personnes suspectées d’appartenir à la communauté LGBTQ et en les éliminant de la fonction publique fédérale. Ces personnes sont présentées comme étant subversives sur les plans social et politique et sont considérées comme des cibles potentielles d’un chantage que pourraient exercer les régimes communistes pour obtenir des renseignements classifiés. Le gouvernement justifie cette stigmatisation en expliquant que les personnes entretenant des relations amoureuses avec des personnes du même sexe souffrent d’une « faiblesse de caractère » et ont nécessairement quelque chose à cacher du fait de leur orientation sexuelle, cette dernière étant non seulement considérée comme un tabou, mais, également, dans certains cas, comme illégale. Dans ce cadre, la GRC mène des enquêtes sur de nombreuses personnes. Plusieurs d’entre elles étant licenciées, rétrogradées ou forcées de démissionner, et ce, même si elles n’ont aucun accès à des renseignements de sécurité. Ces mesures sont prises sans que le public en ait connaissance afin de prévenir les scandales et de garder le secret sur les opérations de contre‑espionnage. En 2017, le gouvernement fédéral présente des excuses officielles pour ses actions et politiques discriminatoires, ainsi qu’un plan de mesures d’indemnisation de 145 millions de dollars.
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Article
Pour la majorité de son histoire, l’armée canadienne applique une politique de punition ou d’expulsion des personnes LGBTQ dans ses rangs. Pendant la Guerre froide, les forces armées font plus d’efforts pour repérer et exclure les personnes homosexuelles en raison d’inquiétudes liées au chantage et à la sécurité nationale. En 1992, une contestation judiciaire mène à l’abolition de cette pratique discriminatoire. Le gouvernement fédéral présente officiellement ses excuses en 2017.
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